Munie de pouvoir magique dès sa naissance, Elsa était destinée à devenir Reine d'Arendelle, là où elle est venue au monde. Ses pouvoirs sont très puissants, elle contrôle la neige et la glace. Avec les années, il est devenu de plus en plus difficile pour elle de les contrôler. Jusqu'au jour où, sa petite sœur Anna, fut blessée par ces pouvoirs grandissants. Depuis, Elsa est devenue très solitaire et culpabilise de posséder toute cette magie sans pouvoir la contrôler. Elle pense sans cesse au bien des personnes qu'elle aime et vit dans une empathie permanente. Pour protèger ses proches, principalement sa petite soeur Anna, Elsa est devenue très froide et distante avec toute forme d'amour environnante. Avide de liberté, la Reine Elsa reste quelqu'un de très doux et bienveillant.
Le jour où la malédiction l'emprisonna à Storybrooke, son identité changea mais tout le poids qu'elle portait sur ses épaules, lui, resta inchangé. Ce n'était plus Elsa, Reine d'Arendelle mais Kay Andersen, la jeune artiste prodige. Kay était peintre et photographe, et contrairement à Elsa, elle pouvait s'adonner à des moments de liberté. Cependant, elle restait une jeune femme perdue, seule et sous pression. Devenue orpheline, dans une relation glaciale avec Gerda (identité de sa soeur Anna), Kay devait faire face aux attentes de ses défunts parents seule. Peu sûre d'elle, la jolie Kay avait du mal à être avenante et ne parvenait pas à donner sa confiance.
Malgré le fait que la malédiction ne soit plus et qu'elle ai récupérée ses pouvoirs, Elsa s'est d'autant plus isolée et n'ose plus retournée à Arendelle.

Elsa fait partie des personnages actuels.






Jeune orpheline, Elsa a du monter sur le trône d'Arendelle alors qu'elle avait encore énormément besoin de ses parents.
Autrefois joueuse et taquine, sa petite sœur Anna aspirait sans cesse à de nouveaux jeux toujours plus drôle. Anna aimait que sa sœur lui façonne de beaux bonhommes de neiges.
Un soir, en plein jeu, Elsa toucha sa petite sœur à la tête et la blessa gravement. Anna fut guérie par les trolls, mais en contrepartie, elle oublia totalement les pouvoirs de son aînée.
Coupable et désemparée, la jeune Elsa se renferma dans sa chambre, ne souhaitant plus jamais faire de mal à quiconque. Elle repoussa sa sœur afin de la protégée mais par la même, son sentiment de solitude ne cessait de s'amplifier.

Le jour de la mort de ses parents, sa solitude ne fit que creuser en elle. La peur l'envahit et ne la quitta jamais plus. Malgré son mal être, Elsa ne pouvait s'ouvrir à Anna, elle l'abandonna donc totalement à son deuil.

Son couronnement arriva bien trop vite et elle maîtrisait de moins en moins son don. Lorsqu'elle apprit pour les fiançailles de sa sœur, elle ne put contenir sa colère et ses pouvoirs. Voulant faire preuve d'autorité, Elsa manqua une nouvelle fois de blesser sa petite soeur. Elle s'enfuit, loin d'Arendelle, et s'enferma dans son palais de glace, ne voulant jamais revenir.

La malédiction frappa la Forêt Enchantée et bien sur Arendelle. Elsa se transforma en une nouvelle (pas si nouvelle)jeune femme, connue sous le nom de Kay Andersen. Kay n'avait pas d'amis proche, et ne pouvait se permettre le moindre écart car ses parents, bien que décédés, lui avait laissé de lourdes dettes à payer. Elle tentait donc d'exceller dans tout ce qu'elle faisait mais elle n’en restait pas moins une jeune fille apeurée. Sa relation avec Gerda (Anna) ne s’était pas améliorée au sein de Storybrooke, personne ne parvenait à la mettre en confiance. Le rêve absolue d’Elsa était simple, mais inaccessible : la liberté. C’est ce que Kay obtenait parfois. Elle était artiste peintre et photographe, donc lorsque elle s’abandonnait à son imagination, ce sentiment de liberté l’enhavissait. Armée de son appareil photo, la nature était son seul refuge.

Malgré le fait que la malédiction ai été levée, Elsa n’en est pas moins seule. Terrifiée d’avoir retrouvée ses pouvoirs, elle ne sait plus quoi faire pour les contrôler. Certains disent que l’amour est la solution. Mais Elsa ne peut concevoir d’être aimée ou même d’aimer, sans que cela représente un danger potentiel.