Stefan est un personnage respecté à Storybrooke. Il travaille comme écrivain et ses livres sont très populaires dans la petite ville. On le trouve souvent près du port, son carnet sur les genoux et les yeux plongés dans l'eau. Il a toujours l'impression que quelque chose lui manque. Comme si une part de lui voulait absolument sortir mais elle restait mystérieusement bloqué en lui. C'est pourquoi il a toujours écrit des livres fantastiques, de sorciers et de pouvoirs maléfiques. On le voit assez souvent aussi vers le fleuriste, pour une raison que lui même ignore. Il est sociable, intelligent et a toujours un sourire aux lèvres. Mais il est aussi rancunier, jaloux et possessif. Il fait partie des habitants de Storybrooke.




Son vrai prénom est Carter Llewyllin. Il était l'apprenti de Zoso, bien avant que celui-ci ne soit attaché au duc. Zoso lui a appris tout ce qu'il devait savoir sur la magie et l'a entraîné jusqu'à ce qu'il soit presque son égal. A l'époque, Carter vivait grâce à sa magie, l'utilisant pour ses intèrêts. Dans la Forêt enchanté, c'était un personnage assez arrogant et imbu de lui même. Mais il n'utilisait pas sa magie pour faire le mal. Il ne prenait jamais aucun parti, il agissait comme bon lui semblait. Mais quand son maître Zoso a été capturé, Carter s'est enfui, le laissant à son sort contre son gré et lui ayant volé un de ses haricots magiques. Il a vaqué à ses occupations et il a même eu un élève dont il s'est attaché et dont les circonstances de son départ était étrange et l'ont attristé. Il en a profité pour atterrir à Neverland où il est resté de nombreuses années à se la couler douce et à passer du bon temps avec les sirènes. Jusqu'à sa rencontre avec Elia. Une belle blonde qui vivait ici depuis de nombreuses années et vers qui il ne pouvait s'empêcher d'aller. Il retourna dans la Forêt enchanté avec elle et c'est là qu'il fit la rencontre de Rumplestiltkin. Envers qui il a une haine féroce, car il sait que pour prendre la place de Zoso, il fallait le tuer. La malédiction les frappa tout les deux et il perdit son Elia, sa précieuse fleur. Il ne se rapelle pas d'elle pour autant.