Petit rappel : Le forum ne suit pas la série.
Tout ce qui se passe au-delà de la saison 1 est à jeter aux oubliettes, merci ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked. 2742709183
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MessageSujet: ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked.   ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked. EmptyVen 26 Sep - 12:05






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Type du sujet : [] Flash-Back [x] Présent
Date du rp : 29 Octobre 2014.
Météo (approximative) : Temps clair et ensoleillé. Une petite brise sympathique s'élève à l'ouest. La journée promet d'être bonne.
Matin, après-midi, soir : Debut d'après midi.
Statut du sujet : [] libre [x] privé
Statut du rp : [x] en cours [] terminé




Comment allait-il pouvoir affronter cette journée aujourd'hui. Rien n'est comme avant. Toute son existence n'étant en réalité qu'un vulgaire tissu de mensonge. Un mur semblant indestructible par n'importe quelle source de magie. Mais finalement, rien n'avait véritablement changé à son existence. Il était toujours cet orphelin brisé et déchu avec ses rêves et ses espoirs tentant vainement de maîtriser une magie qui lui fût interdite par son maître et mentor; Maître Yen Sid. Mickey Mouse, à Storybrook n'était plus la souris bonne à se repentir de ses actes. Il était ce jeune homme séduisant et charmeur qu'il avait toujours était et ce même à Fairytale land à l'exception que cette fois il était écrivain d'histoires fantastiques. Bercé par les contes depuis son plus jeune âge, Elias était loin de se douter qu'il était lui même un personnage de ses fabuleux récits écrits pour les enfants. Il s'était habitué à New York, à Storybrook et à tout ses habitants qui semblaient être normaux, tout comme lui. Il s'était inspiré de la ville pour pouvoir créer "son" histoire propre, et peut-être enfin trouver la fameuse Happy Ending qui pourrait lui redonner sourire et redorer son blason personnel. Elias ne croyait pas en la magie, persuadé que si elle existerait, alors elle aurait sûrement sauvé sa mère morte. Il s'entêtait à chasser furtivement ses mauvais démons de sa tête, mais à chaque fois qu'il donnait un coup de crayon sur son carnet de dessin, alors il pensait aux malheurs et à d'odieuses créatures toutes des plus malveillantes les unes des autres.

Cela fesait un petit moment que Elias était debout et qu'il n'avait pas quitté le restaurant Granny, toujours en quête d'inspiration pour ses récits. Il devait en être à son énième café corsé de la journée, le pied battant , les yeux plissés et les mains sur les tempes, l'homme nerveusement agité dans toute sa splendeur. Un rien aurait pût l'énerver, les bruits des différents passants dans le café, les rires aux éclats de certains , les commérages des autres et Granny qui ne pouvait s'empêcher de hurler à tût tête sur ceux qui ne respecterait pas son autorité. Oui, le restaurant Granny n'était peut-être pas le lieu d'inspiration le plus approprié pour écrire un récit mais c'était ici qu'il prenait place pour réfléchir et imaginer. Crayon en main, Elias l'agitait dans tout les sens, venant de temps à autre l'apporter entre ses lèvres , sans même décrocher un seule parole. Si il voulait proposer ses idées de scénario à la grosse pomme alors il se devait d'avoir l'idée du siècle qui le propulserait au devant de la scène. Mais rien. Que du vent, rien ne lui vint en tête. Les quelques idées gribouillées sur du papier froissé l'ennuyait profondément, aucunes d'elles n'avaient véritablement de sens. Tss. Vivement il agrippa la feuille de papier pour la mettre en boule et la jeter devant lui, levant les yeux pour constater qu'il avait répété ce geste une bonne dixième de fois vu le mont de paperasse devant lui, c'était Granny qui risquait la crise d'hystérie en voyant sa table de restaurant aussi dégueulasse.

Lentement, le beau brun vint reposer son dos courbé contre le dossier de sa banquette, un soupire glissa d'entre ses lèvres tandis qu'il ferma les yeux durant quelques secondes. Des secondes précieuses de son temps. Sa tasse de café à moitié rempli attendant avec impatience que son propriétaire la termine avant de refroidir. Il ne lui manquait plus que l'épaisse barbe noire pour faire de lui l'ermite parfait dans sa tanière, heureusement d'ailleurs qu'il ne s'enfermait pas dans son petit appartement ridicule et qu'il sortait régulièrement voir du monde. D'ailleurs, il avait prit soin de rencontrer beaucoup de personnage de Storybrook pour se renseigner un maximum sur eux et en faire des personnages de son récit, avant d'être l'écrivain qu'il était, Elias était un enquêteur et détective de talent, bien que sa plus trouvaille fût cette jeune femme qui était parvenue à le perturber du plus haut point. Rachelle.

Les cris perçants de Granny vinrent peu à peu briser les tympans de nôtre souris nationale qui en grimaça. Les mains sur les tempes yeux clos, il souffla un simple Silence. en apportant vivement sa main sur la tasse légèrement ébréchée pour l'apporter à ses lèvres en en boire le contenu. Tu devrais sérieusement songer à te calmer sur la boisson Elias. Déclara la propriétaire des lieux , torchon à la main, main sur la hanche. Cette vieille femme ressemblait trait pour trait à la grand mère idéale qu'il aurait aimé avoir dans sa vie. Le genre de femme dure et sure d'elle qui pourtant cache au fond d'elle un coeur mielleux et tendre pour ses proches. Un faible sourire vint orner les lèvres du brun qui plissa les yeux. L'alcool ne le tuerait pas, en revanche le café, peut-être. Il lui promit de se calmer, au jour ou il aurait trouvé sa source d'inspiration nécessaire pour poursuivre son récit, chose loin d'être gagnée mais peu importe de toute manière, car aujourd'hui n'était pas sa journée et l'apparition d'une connaissance de ce dernier ne pouvait que confirmer ses dires. La porte de Granny vint à être pousser, la clochette avait retenti, un second brun à la musculature osée s'était approché. Elias ne serait donc jamais en paix..
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MessageSujet: Re: ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked.   ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked. EmptyVen 3 Oct - 20:34


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Légende :
Zack Karos
Anaïs, serveuse


Le ciel était dégagé, l'océan semblait calme, les mouettes survolaient le port et une brise fraîche était en train de me caresser le visage. J'étais au port, les bras posés sur une rambarde qui séparait le ponton de la mer. J'étais pensif, à la fois joyeux mais aussi anxieux. La mémoire m'était revenue depuis plusieurs semaines, et cela pour tout le monde apparemment. Nous venions tous d'un monde différent, enfin pour certaines personnes, elles venaient du même monde. Ma véritable identité, une vulgaire patate sur patte. Un minion, voilà ce que j'étais. Je n'étais aucunement une créature créée par l'imagination d'un quelconque Dieu. Non nous autres les minions étions la création du Docteur Gru et de ami le docteur Néfario. Un minion une créature tout droit sortie de leur labo. Moi et mes centaines de frères étions un peu ses serviteurs. Étant notre créateur, nous le servions corps et âme façon de parler. Puis je me souvenais de l'arrivée des filles, je m'en rappel comme si c'était hier. Et notamment la petit Agnès pour qui j'eus rapidement de l'affection. Et aux files des années bien que j'étais un minion je ressentais quelque chose d'autre pour la reine des licornes. Mais que pouvais-je faire ? Que pouvais-je dire ? Je n'étais qu'un simple minion. Et il est vrai que dans ce monde, j'étais différent, j'étais un humain. Je me blessais ? Je saignais, du sang rouge. Mentalement et physiquement je n'étais plus ce déchet de patate. Force, intelligence, divers sentiments. Ici je me sentais vraiment vivre, je n'étais plus faible et impuissant. Cependant, les quelques jours qui suivirent la fin de la malédiction, je reconnais que je ressentais l'envi de quitter ce monde. Oui je voulais revenir dans mon monde, retrouver Gru, mes frères, les filles, mais surtout retrouver Agnès. Elle me manquait terriblement. Oui, juste le simple fait de me retrouver auprès d'elle, j'étais prêt à abandonner ce merveilleux corps d'humain que je possédais ici. J'étais prêt à redevenir ce faible et inutile minion. Enfin, inutile, pas vraiment. Car en tant que minion, il y a une chose que je faisais correctement. Celle de toujours être là pour Agnès, lui remonter le moral. Je ne pourrais évidemment pas lui révéler mes sentiments que j'ai pour elle, je ne pourrai concevoir une vie avec elle, mais je ne désirais qu'une chose, être à ses côtés, même si je savais qu'elle ferait tôt ou tard sa vie de femme. Mais ici, le simple fait de penser que je ne la reverrais jamais m'était insupportable, j'aurai plutôt préférer ne jamais me souvenir. Voilà pourquoi je pris la décision à ce moment là de tout faire pour rentrer chez moi.

Mes pensées étaient donc plongées en cette période, période datant seulement de quelques semaines. J'étais donc déterminé à trouver une solution pour retourner dans mon monde, moi qui pensait à ce moment précis que j'étais le seul de mon monde à être ici. Mais ce que je pensais inimaginable se produit quelques jours plus tard. En effet, un soir lors d'une soirée en boite, ma route croisa celle d'une belle jeune femme nommée Calliopée Agnès. Agnès, entendre son prénom me fit penser à ma Agnès qui me manquait plus que tout, ce qui me motiva encore plus à trouver un moyen de regagner mon monde d'origine. Mais quelques minutes après avoir discuté avec elle, mon verre se sépara de ma part et vint se briser par terre. Calliopée Agnès était en fait la Agnès que je connaissais, la Agnès de mon monde, ma reine des licornes. Elle aussi avait été prit dans la malédiction. Je me rappel que nous passâmes cette soirée ensemble, uniquement moi et ma licorne. Nous étions tout deux plus qu'heureux de nous retrouvé. C'est là, en tant qu'homme dans ce monde que je compris que mon cœur lui avait toujours appartenu. Nous nous sommes parlé, nous nous sommes regardés, nous nous sommes enlacés et nous nous sommes embrassés. Les jours ont passé et nous nous sommes avoués nos sentiments l'un pour l'autre. Dès lors où je l'avais retrouvé, mon désir de retourner dans notre monde s'était envolé. Agnès était ici à Storybrook, j'étais avec elle en tant qu'homme et je ne désirais qu'une chose : rester auprès d'Agni pour la combler d'amour et de bonheur.

Voici pourquoi j'étais au port en étant joyeux. Mais j'étais aussi anxieux dans le sens où je pensais à Gru. Agnès était ici à Storybrook, et j'en étais plus qu'heureux. Mais si nous étions en ce monde ici à Storybrook, j'espérais que Gru le soit aussi. Mais c'est cette pensée qui me troubla. Autant que j'aimerai revoir mon maître mais d'un sens je redoutais cette instant. Oui les filles, Margo, Edith et Agnès étaient les prunelles de ses yeux, et Agnès étant sa préférée. S'il devait savoir que sa préférée sortait et aimait l'un de ses minions, Gru ne le supporterait pas. Mais nous n'étions pas dans notre monde. S'il c'était le cas, je n'aurai pas mon mots à dire, je n'aurai que ma petite bouche de minion à fermer. Mais ici tout était différent. Ici je n'étais pas Mark, j'étais Zack Karos. Oui avec Agnès nous espérions retrouver Gru. Et même si ce dernier devait apprendre l'amour qu'Agnès et moi ressentions l'un pour l'autre, il n'aurait pas d'autre choix que je l'accepter. Je ne suis pas un minion ici et si je devais trahir Gru pour Agnès je le ferais sans l'once d'une hésitation. J'aimais Agnès plus que tout, et je savais au fond de moi que nous étions destinés l'un à l'autre. Voilà ce qui expliqua aussi le fait que j'étais anxieux. En fait, je me demandais surtout comment j'allais réagir le jour où je serais devant Gru pour lui annoncer cette nouvelle. Comment allait-il réagir ? Tant de question que je me posais. Bref, ces différentes questions étaient responsables de ma mélancolie d’aujourd’hui. Décidant de bouger et voyant aussi qu'il était déjà treize heure trente. N'ayant pas encore mangé, je pris la décision de retourner en ville et d'aller manger chez Granny. J'aime bien aller là-bas, le personnel y est serviable et on y mange bien surtout.

Sortant du port, je me rendis donc en ville, me dirigeant vers le restaurant de Granny. Aujourd’hui, j'étais de repos et ma reine des licornes était en cours, ses quelques heures de travail l'attendant ensuite. Il était prévu d'ailleurs que je le vois ce soir. Bref, j'arrivais au centre-ville, me rapprochant du restaurant. Marchant tranquillement sur le trottoir, j'observais les habitants de Storybrook. La plupart était toujours en train de parler de la levée de la malédiction par Swan, parlant de leur passé. D'autres étaient toujours choquées d'avoir subit justement la malédiction. Après tout je les comprenais dans le sens que j'avais agit pareillement. Mais là où je ne les comprenais, c'était le fait que la malédiction avait quand même été rompue il y a de cela plusieurs semaines. Arrivant devant le restaurant, je venais de prendre la peine de rentrer, refermant la porte derrière moi.

- "Bonjour !"

La maitresse de maison me vit entrer et me fit un sourire tout en me souhaitant le bonjour. Regardant dans la salle, il y avait presque personne, hors-mi un jeune homme assis à une table avec pleins de boulettes de papiers devant lui. Je mentionnais donc à la patronne que je souhaitais une petite salade, avec une canette de bière comme boisson. Je pris soin de m'installer à une table se situant à côté de celle du jeune homme. Coude sur la table, front poser dans la paume de ma main, je ne pouvais s'empêcher de penser aux différentes questions que je se posais au port. C'est alors que l'une des serveuses qui adorait me taquiner vint poser ses bras sur mon épaule et lui poser cette fameuse question qui semblait lui pendre aux lèvres depuis la fin de la malédiction.

- "Dis moi Zackou, tu est quoi dans ton monde ? Un prince ? Un aventurier ? Un pirate ?"

Dans un premier lieu c'est un soupire que je fis. Anaïs était ce genre de fille qui rêvait du prince charmant, ou d'un aventurier et même d'un grand pirate comme Crochet. Mais elle allait être surprise de ma réponse. C'est avec un regard blasé via la question posée que je pris soin de lui répondre.

- "Rien de tout çà j'en ai peur ... Tu veux vraiment le savoir ? Je ne suis qu'une patate sur patte mesurant pas plus de tente centimètres .... satisfaite ?

Après avoir mentionné ou plutôt après avoir confirmé que je n'étais aucune des trois propositions d'Anaïs, je le vis me regarder avec des éclats dans les yeux. Apparemment elle s'attendait à une réponse spectaculaire. Mais lorsque je lui répondis ce que j'étais réellement, la jeune femme souffla me disant que je n'étais pas drôle. De sa réaction, j'en conclus qu'elle ne m'avait pas cru. Libre à elle de penser cela. Granny vint me voir et me donner un apéro maison en me disant que la maison l'offrait et que mon plat arrivait. La remerciant avec un sourire, je bu une gorgé. Son cocktail maison était toujours aussi bon. D'un coin de l’œil, je vis le jeune homme me fixer. Me concentrant à boire mon cocktail, je ne lui prêtais pas attention. Et je n'avais pas vraiment le moral pour. Entre mes pensées pour Agnès, le fait de vouloir retrouver Gru mais craignant aussi sa réaction quand il apprendre que sa petite préférée et moi-même sortons ensemble, que nous nous aimons. c'est suivit d'un soupir assez long que je bu mon cocktail ...
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MessageSujet: Re: ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked.   ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked. EmptyJeu 9 Oct - 14:24


L'écrivain en manque de sa muse. Une belle lavette livide et droguée au café, voilà ce qu'il était réellement. Les cernes sous les yeux, Elias voulut trouver l'inspiration nécessaire pour terminer son livre et ainsi pouvoir l'expédier directement à New York ou il serait édité et mis en boutique mais voilà, la route vers la gloire était longue et périlleuse, un chemin chaotique qu'il voulut prendre malgré tout. Les tasses de café chaudes offertes par Granny vinrent défiler à sa table, bientôt il ne resterait que des fonds de tasse, toutes empilées les unes sur les autres, seules accompagnatrices du désarroi du brun , lassé d'être en manque d'inspiration. Les deux mains de chaque côté du visage, l'écrivain jeta un œil furtif sur son environnement, tentant d'imaginer une scène ou quelque chose qui pourrait être noté sur au moins vingt bonnes pages mis à part les scènes entre Ruby et Granny, rien ne semblait l’intéresser plus que ça, si ce n'est ce parfait étranger sorti de nulle part. Lentement, l'écrivain vint libérer sa tête prisonnière de ses mains, plongeant son regard livide dans celui du brun au comptoir. Cet homme, il était bien l'un des seuls qu'il ne connaissait pas à Storybrook et ce même avant la malédiction et il serait bientôt l'une des victimes de l'imagination débordante de l'apprenti magicien qui vint fermer son livre poussiéreux pour se lever de table ne maquant pas d'interpeller mère grand et son regard foudroyant au travers de ses binocles. Furtivement, il lui fit un regard en disant long sur ce qu'il comptait faire et de suite la grand mère au tempérament enflammé s'était mise à soupirer en reprenant ses activités quotidiennes. «Dîtes moi, vous êtes nouveau dans les parages? » Lui avait demandé nôtre souris malicieuse en prenant place sur l'un des tabourets à ses côtés sans même y avoir était invité.«ll me semble pas vous avoir déjà croisé.» Avait prononcé Mickey Mouse dans toute sa splendeur en souriant de toutes ses dents, se voulant être le plus courtois et bienveillant possible. Son regard fatigué vint distinguer furtivement l'individu dont il fesait face. Un bon jeune homme d'une vingtaine d'années, avec une carrure à en faire jalouser Leroy et sa bande de nains corpulents, vêtu plutôt bien , un gentleman clean qui ne devait pourtant pas passer inaperçu à Storybrook. «Oh mais je manque à tout mes devoirs. Je m'appelle Elias. Elias Murphy et je suis écrivain.» Poursuivi le mage en tendant sa main en direction du jeune garçon, espérant qu'il n'appartenait pas à la catégorie des bons à rien qui ne prend pas le temps d'apprendre à connaître des individus.

Elias était quelqu'un de courtois et poli, sage également, n'ayant jamais manqué de respect à personne, pas même à un inconnu. Furtivement, son regard vint se tourner vers mère grand et son exaspération de voir que la souris nationale s'en prendrait à une nouvelle personne. Oui, comme n'importe qui dans cette ville, Granny avait déjà était l'une des victimes des nombreuses interrogations d'Elias, elle l'avait même déjà menacée plus d'une fois d'être quelqu'un de bien et responsable dans ses écrits. Un faible sourire de gamin aux lèvres, Elias leva sa deuxième main libre pour interpeller la serveuse, lui demandant un énième café. Une chose était sûre, il ne dormirait pas de la nuit l'insomniaque. Ce n'est pas plus mal, au moins il pourrait se focaliser sur sa nouvelle trouvaille dont il se donnerait à cœur joie d'approfondir dans ses récits. «Je vais te paraître un peu direct, mais je t'ai entendu parler à .. » Il vint claquer des doigts , cherchant mentalement le prénom de cette serveuse qui ne l’intéressait pas plus que ça en temps normal, lui qui avait souvent affaire à Ruby ou même sa grand mère en personne.«Anna.» «Anais ! » rétorqua la dîtes concernée en jetant un regard sombre à l'écrivain. Regard dont il ne fit pas plus que ça attention. «Anais..Je t'avoue que je suis un friand adepte des histoires croustillantes et passionnantes comme la tienne. Alors, une patate dis-tu?» Vivement , l'écrivain vint défaire le crayon prisonnier de la couverture de son bouquin , ouvrant une page vierge de son cahier, prêt à entendre l'histoire passionnante de son interlocuteur.

Au risque de se prendre une bonne droite au visage, au moins, l'impétueuse souris aurait tenté d'aborder ce mystérieux individu. Derrière le comptoir, mère grand vint à nouveau à soupirer, mains sur la taille, se rendant compte que d'avoir Elias dans son café n'arrangerait sûrement pas son business. Il ferait fuir ses clients comme il l'avait déjà fait et elle serait prête à ce moment la à le réprimander comme elle l'avait toujours fait depuis des semaines à présent. L'écrivain avait pourtant une sacrée bonne couverture, loin d'être l'ennemi de madame Le Maire, Elias s'inscrivait même dans l'une de ses connaissances personnelles et privatives, étant parvenu à entrer dans son cercle vicieux d'amis pas souvent fréquentables juste grâce à son franc parlé et sa bienveillance. Si l'apprenti magicien aurait était une mauvaise personne aux ambitions malsaines, il aurait déjà menacé la mère grand de lui faire fermer boutique ou même menacer l'ensemble de la population de Storybrook pour obtenir les informations qui lui manquaient terriblement pour parfaire son futur best seller, mais non, nôtre souris nationale était tout sauf malsaine, peut-être franche, peu délicate et malicieuse mais jamais méchante. Les yeux du brun vinrent se plonger dans celui du gorille corpulent à ses côtés, sans que ce semblant de sourire franc qu'il avait adopté ne s'efface, il attendait patiemment ce nouveau récit palpitant qui le décrocherait de la réalité du monde pour le plonger dans celle des contes un peu plus brutale et plus malveillante.
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MessageSujet: Re: ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked.   ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked. EmptyLun 20 Oct - 17:31


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Légende :
Zack Karos
Elias Murphy


Précédemment dans "Oh, my gosh. I'm not myself. That crazy gizmo really worked" :

J'étais sur les quais du port de Storybrook, entrain de réfléchir à diverses choses. Le fait que j'étais heureux d'avoir retrouvé ma reine des licornes mais aussi le fait de craindre la réaction de Gru quand on le trouvera et quand il sera au courant. Oui, si j'avais pu avoir l'immense bonheur de retrouver Agnès à Storybrook, j'étais persuadé de Gru était ici quelque part. Je sais d'avance qu'il n'accepterai pas que l'un de ses minions s'unissent avec sa petite Agnès, mais nous nous aimions et si je devais faire un choix je choisirai sans hésiter d'être aux côtés de ma reine des licornes. Ayant faim, je pris la décision d'aller manger quelque chose chez Granny. Il y avait très peu de monde, en fait il y avait juste un homme qui faisait je ne sais quoi, avec un tas de boulettes de papiers devant lui. M’asseyant à une table, je pris commande. c'est alors que la serveuse, curieuse comme je ne sais quoi, vint me voir en insistant pour savoir ce que j'étais dans mon monde. Oui la malédiction avait été rompu, et Anaïs n'était qu'une vilaine petite curieuse. Blasé et envie qu'elle me foute la paix, je lui répondit donc ce que j'étais, une vulgaire patate sur patte. Par chance elle ne m'avait pas cru, croyait que je me foutais de sa gueule, tan mieux d'un sens. Cependant une autre personne de présente semblait me croire ...


Et maintenant la suite :

Le bord du verre de mon cocktail touchait mes lèvres, de cela je pu boire quelques gorgées de ce breuvage que Granny m'avait fait. La fraicheur et la saveur passant par mon palais me fit le plus grand bien. Mais ce n'est pas pour autant que mes pensées étaient parties. Fermant mes yeux je pesais le pour et le contre de tout çà, mais même s'il y avait du contre, j'étais déterminé à faire face à Gru le jour où je le retrouverai. Mais bon, j'étais ici chez Granny, j'allais me remplir l'estomac et une fois plein, je pourrai de nouveau réfléchir pleinement. J'haussais alors un sourcil en voyant cet homme quitter sa table pour venir s'installer à ma table. Non mais quel sans gêne, même pas un s'il vous plait, puis-je m'assoir, non rien de tout çà. L'homme qui semblait bizarre venait donc de s'assoir en face de moi, un sourire malicieux aux lèvres, tel un chasseur qui venait d'apercevoir une proie. Une proie qu'il ne comptait pas lâcher. D'un coup d’œil, je venais de poser mon regard sur Granny, qui elle avait ce regard foudroyant vers cet homme. Cela en disant donc long à son sujet. C'est peut-être pour cela qu'il n'y avait pas beaucoup de client aujourd'hui en ce lieu. Mon regard se leva vers le sien. Et de nouveau sans aucune gêne, l'homme vint prendre la parole comme si je lui avais dit viens ici pour qu'on puisse parler.

- "Dîtes moi, vous êtes nouveau dans les parages ? ll me semble pas vous avoir déjà croisé."

Ça en faisait des questions pour une première rencontre. Il voulait peut être aussi savoir où j'habitais, avoir mon numéro de téléphone ? Dès ses premières questions, je su donc le pourquoi du comment du regard foudroyant de Granny. L'homme qui était assis en face de moi semblait être un habitué de ce restaurant, un grand habitué je dirais. Mon regard était comment dire, pas vraiment neutre, mais un peu blasé dû notamment à ces différentes questions que je me posais. j'étais venu ici pour avoir la paix mais ce n'est pas ici que je l'aurai apparemment. Mais j'étais avant tout une personne qui avait reçu une certaine éducation, et je m'apprêtais donc à répondre par pure politesse.

- "Surement parce que nous nous ne sommes jamais vu auparavant .."

Bien sûr pour moi il s'agissait d'une simple question et réponse de logique. Oui s'il lui semblait ne pas me connaître, c'est que nous nous étions jamais vu auparavant. Enfin, pour moi cette réponse me semblait logique. Après je sais pertinemment que les gens ne sont pas moi. Enfin, je dis çà en étant dans ce monde. Dans mon monde, si j'avais été ce minion nommé Mark, cette logique ne me serait jamais venu à l'esprit. C'était d'ailleurs aussi l'une des autres raisons pour lequel je souhaite rester dans ce monde. la première raison étant bien sûr celle de pouvoir rester auprès de ma reine des licornes. Mais l'homme semblait être envahit de questions, et il n'était pas près de s'arrêter à ces simples questions basiques.

- "Oh mais je manque à tout mes devoirs. Je m'appelle Elias. Elias Murphy et je suis écrivain"

Je regardais cet homme, il semblait être de taille moyenne et une carrure normale. Il semblait être assez jeune, surement le même âge que moi. Peut-être un petit peu plus ou un peu moins. Il est vrai que certaines personnes font plus jeunes ou plus vieux qu'elles ne le paraissent. Néanmoins, Cet Elias venait de me tendre la main pour me saluer, en me faisant un sourire. Il semblait peut-être un peu casse noisette au départ avec ses questions, mais au moins il était poli. Ce qui était rare de nos jours. Mais je n'étais pas pour autant ce genre d'hommes à mettre des vents sans raison. Soupirant légèrement et lentement, je me mis à lui rendre son sourire, et ma main vint se nouer dans la sienne. Une vrai poignet d'homme, une poignet de main virile.

- "... Karos .. Zack Karos, enchanté Elias. Et je suis technicien de réseau pour la ville."

Je ne dis pas que je suis un mordu de la lecture, mais Elias a prétendu être écrivain. Un nom dont je n'ai jamais entendu parler. Je continuais à le regarder et je le voyais dans ses yeux, il avait des tas de questions à me poser, j'en étais persuadé et j'ignore encore à cet instant comment j'allais réagir. Granny vint à ce moment à ma table m'apporter mon plat, une salade avec une canette de bière. Souriant à la maitresse de maison, je la remerciais comme il se le devait. Ouvrant ma canette je bu une petite gorgée et commençais à manger cette somptueuse salade. Et comme je m'y attendais, çà n'avait pas manqué, Elias reprit ses questions, curieux comme une fouine.

- "Je vais te paraître un peu direct, mais je t'ai entendu parler à .. Anais..Je t'avoue que je suis un friand adepte des histoires croustillantes et passionnantes comme la tienne. Alors, une patate dis-tu?"

Et en plus, il se permettait de me tutoyer comme si nous étions des bons potes depuis x temps. Cet homme ne manquait pas d'air et il était par la même occasion si mystérieux. Il agissait comme si ce qu'il faisait était normal. Pour l'instant tout ce que je désirais était de manger tranquillement, de savoureux au moins ce repas avant de replonger dans mes pensées. De toutes les façons, je n'avais que çà à faire aujourd'hui. J'étais en repos et ma reine des licornes était en cours, pour ensuite se rendre à son travail. Je ne la verrai surement pas avant ce soir. L'après midi allait être longue, très longue. En ce qui concernait cet Elias, il venait juste de m'agacer comme il le fallait. Et je sais pas pourquoi mais ma réponse parti toute seule, sans vraiment le vouloir. Soupirant mon regard se leva de nouveau vers lui.

- "... et vous voulez peut être aussi une photo de mon cul ? Non ?"

C'était vraiment parti tout seul et d'ailleurs ce n'était pas mon genre de répondre ainsi.
A ce moment-là, je venais de repenser à un souvenir avec deux de mes frères. L'un de mes frères était en train de photocopier ses fesses, les feuilles sortant une par une de la photocopieuse. je m'en souviens encore comme si cela s'était produit hier, nous étions mort de rire devant ces photos. Nous étions des minons et un rien nous faisait rire. Mais le fait de savoir que j'avais retrouvé la femme que j'aimais le plus au monde, que Gru était là quelque part à Storybrook. Oui Agnès était la personne qui comptait le plus pour moi, mais Gru aussi était important, enfin important mais moins qu'Agnès. Gru était mon maître, mon créateur, je le considérai comme un père. Même dans ce monde là j'aurais toujours ce même respect envers lui. Et c'est là le problème, de ses petites filles adoptives, Agnès était sa préférée, sa prunelle de ses yeux et quand il saura qu'Agnès et moi nous nous aimons, je sais pertinemment qu'il ne le permettrait pas. Mais ici j'étais un humain comme les autres, je n'étais plus ce minion inefficace. Choisir entre celle que j'aime et mon créateur, la question ne se poserait même pas. Gru perdrait alors l'un de ses minions. Mes yeux regardèrent la table lors de ces pensées. Mon corps était présent mai spas mon esprit. Revenant sur terre, je m'aperçus donc de ma réaction que je venais d'avoir envers cet homme, cet écrivain. Mon regard se porta de nouveau vers lui, n'ayant plus ce regard blasé ou ennuyeux.


- "... Pardonnez-moi .. j'ai parlé sans réfléchir ... je suis dans un ... dilemme assez .. complexe ..."

Bien que j'avais hâte de retrouvé Gru, il n'en restait pas moins ce dilemme que je venais de parler. Cet homme avait déjà sorti son stylo et mit son cahier sur une page vierge. Après je n'avais pas vu sa réaction face à ma réponse quelque peu déplacée. Sérieux un type m'aurait répondu çà, il aurait fini avec mon poing dans la gueule ou je me serais tiré vite faite. Mais Elias, non. Il était toujours là, devant moi. Je plissais légèrement mes yeux. Je n'avais aucune envie de raconter ma vie à un parfait inconnu, mais pour je ne sais quelle raison, ce jeune homme arrivait à me mettre en confiance avec lui. Il avait quelque chose de différent, ce sourire qu'il avait sans cesse. Je reconnais qu'à ce moment la curiosité vint s'emparer de moi également, j'étais curieux de savoir qui était réellement ce personnage dans son monde. Je posais mes couverts et bu une autre gorgée de ma canette de bière. mes yeux ne le quittèrent pas, reprenant pas la suite la parole.

- - "Elias ? C'est bien çà ? Dites-moi, pourquoi cette soudaine envie de savoir qui je suis ans mon monde ? Vous parlez d'histoire et en quoi connaitre ce que je suis vous aidera ?"

Décidément, la malédiction avait vraiment fait venir de drôle de personnage à Storybrook. Et j'avais le sentiment qu'en compagnie de cet homme, j'irai de surprise en surprise ..
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MessageSujet: Re: ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked.   ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked. EmptyMer 22 Oct - 14:51


Ce n'était pas une manière d'interpeller quelqu'un et intérieurement, Elias était conscient de ça. Il n'était pas délicat, encore moins doux et sensible. Ce n'était pas le genre de personne à prendre des inconnus par des pincettes, et c'était d'ailleurs ce qui fit toute la différence entre lui et quelqu'un d'autre. Elias était unique en son genre, tourmenté , détruit à feu doux mais vivant, toujours vivant, exprimant sa joie de vivre au travers de ses écrits et de ses connaissances. Il n'aimait pas parler de lui, ça l'insupportait. Il préférait tout simplement rencontrer des nouvelles têtes et chercher à les connaître intérieurement, titiller leur point sensible, leur faiblesse et peut-être même leur point fort. Les réconforter également quand rien ne va, mais ce n'était pas sa mission première, loin de là. Son attitude grotesque et ses mauvaises manières inquiétait énormément Granny qui crût qu'un jour il se présenterait à son restaurant , un bel œil au beurre noir. Elle ne pouvait s'empêcher de le conseiller, d'être la pour lui, tout comme sa précieuse Red l'était elle aussi. Ruby était une chouette fille au fond, séduisante et séductrice mais très gentille et attendrissante, affectueuse aussi. Juste le genre de fille en manque d'affection que tout le monde a dans son entourage. Elias s'était éprit pour cette pseudo famille que formait les deux femmes entre elles, bien sûr, il avait apprit à les connaître avant de paraître pour le fouineur de service, et curieusement elles avaient fini par l'apprécier, en même temps, il était bon consommateur aussi. Le Elias Murphy dans toute sa splendeur, une souris discrète et malicieuse qui prenait un malin plaisir à se mêler de ce qui ne le regarde pas, quitte à s'en faire des ennemis par derrière. Il souriait l'imbécile en serrant virilement sa main dans celle de l'inconnu qui était venu se présenter à son tour. Finalement, ce mec serait pas un imbécile. «Karos .. Zack Karos, enchanté Elias. Et je suis technicien de réseau pour la ville.» Ok. Intérieurement, l'écrivain en manque d'inspiration vint graver ses quelques précieux renseignements dans un coin de la tête en relâchant la main du jeune homme, attrapant son énième café de la journée tendu par Granny mécontente. Il souriait, plongeant son regard droit devant lui, l'air absent. Il cherchait déjà à trouver une petite idée pour intégrer ce personnage haut en couleur dans l'un de ses récits.


Il n'avait pas eu peur de lui révéler ses véritables intentions et qui ne serait pas ravi d'apprendre que sa merveilleuse personne est interessé par un écrivain aussi brillant que Elias. Tout le monde aimerait, tout le monde à part lui aparemment; «... et vous voulez peut être aussi une photo de mon cul ? Non ?» Vulgaire, en plus de ça. L'homme d'une vingtaine année haussa un sourcil en manquant d'avaler une gorgée de son café de travers. Les fesses ou un quelconque attribut appartenant de près ou de loin à l'homme ne l’intéressait nullement. Une belle manière de s'exprimer, une façon de dire ; Vas-t'en tu m'énerves et j'ai pas envie de te causer. «Ok. Ok. Je vois le genre. » Il déposait sa tasse de café sur le marbre en agitant les mains devant lui d'un air innocent. Son but n'était pas de mettre les gens mal à l'aise mais justement de se confier à lui, il avait besoin de connaître Storybrook sur le bout des doigts. Le mystère de la ville étant levée, l'écrivain voulut en apprendre d'avantage sur les habitants, sur leur passé mystique , sur leur vie d'antan et sur les souffrances qui les pèsent mais il ne forcerait jamais personne à lui parler, encore moins ce fameux Zack. Les mains posées sur le marbre froid de la table, l'homme s'apprêtait à se lever pour prendre congé, permettant ainsi au technicien de rester seul dans sa nostalgie et sa mélancolie, mais alors qu'il s'apprêtait à partir en récupérant sa tasse de café au passage, le brun l'avait retenu par les paroles. «Pardonnez-moi .. j'ai parlé sans réfléchir ... je suis dans un ... dilemme assez .. complexe. Elias ? C'est bien çà ? Dites-moi, pourquoi cette soudaine envie de savoir qui je suis ans mon monde ? Vous parlez d'histoire et en quoi connaitre ce que je suis vous aidera ?»

Un rictus aux lèvres, le mage reprit sa place marquant un temps d'arrêt entre ses paroles et les siennes à lui. Il avait prit soin de déposer ses deux coudes contre le marbre, entrelaçant ses deux mains l'une à l'autre pour plonger ses iris noisettes dans celles de son interlocuteur. «Premièrement, toutes les histoires quelconques et la tienne en particulier m'interesse.» Il approchait sa main de la poignée de sa tasse pour l'apporter près de ses lèvres, finissant sa phrase avant de boire une gorgée de son café chaud. «Deuxièmement, je suis écrivain, je viens te le dire.» Il se délectait de ce liquide brûlant coulant dans sa gorge, fermant les yeux pour supporter l'acidité de ce café corsé offert par Granny. Elias était écrivain et ce depuis la malédiction lancée par Régina, il appréciait ce métier haut en couleur qui lui permettait en quelque sorte de s'évader du monde réelle ou voir même de sa propre vie passé qui fut loin d'être enchanteresse comme certaines personnes de conte. Elias n'avait pas connu ses parents et ne souhaitait pas les connaître, tout comme il ne voulait pas revoir son mentor et maître, Yen Sid. Finalement, il était venu poser sa tasse sur la table en prenant soin d'ouvrir les yeux à nouveau pour croiser ceux de sa nouvelle acquisition.«Ecoute. Je peux comprendre que tu ne veuilles pas me parler ou même que je te fasses peur. J'ai la tête pour l'emploi. Il riait lentement en pliant le rebord de sa feuille de papier à ses côtés, stylo toujours dans sa deuxième main. «Je suis pas psychologue Zack, je veux juste comprendre qui sont les habitants de la ville et peut-être les aider à retrouver une certaine sérénité. Rien de plus.» Cette fois , il était franc. Il espérait juste que le jeune homme arrête ses blagues de mauvaises augures et qu'il se confie à lui, juste pour une fois.
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MessageSujet: Re: ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked.   ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked. EmptyLun 3 Nov - 0:36


▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked. 856195tumblrm3bzpebJpr1r7ifqv




Légende :
Zack Karos
Elias Murphy


Précédemment dans "Oh, my gosh. I'm not myself. That crazy gizmo really worked" :

J'étais seul, pensif sur les quais du port de Storybrook. J'étais heureux mais aussi craintif. Heureux dans le sens où j'avais retrouvé l'une des personnes qui m'est très chère, ma reine des licornes. De ce la j'avais aussi espoir de retrouver les autre ainsi que Gru. Mais le retrouver était aussi ma crainte, comment réagirait-il lorsqu'il apprendra que je suis devenu proche d'Agnès ? J'étais vraiment en mode pensif, là entrain de regarder l'horizon. Et c'est une petite faim qui vint me faire sortir de ma rêverie. J'étais donc aller chez Granny pour manger un petit quelque chose. M'étant installé à une table et ayant passé commande, Anaïs la serveuse dernièrement embauchée par Granny, vint me trouvé en m'ayant cassé les pieds pour savoir qui j'étais dans mon monde. Je lui avais répondu avec franchise mais elle ne m'avait pas cru. Cependant, l'homme qui était assis à la table en face de moi vint s'assoir en face de moi. Il vint à me poser différentes questions, notamment sur le fait que j'étais une patate sur patte. Sur le moment, je l'avais envoyé chier, mais je m'étais excusé par la suite de mon attitude.


Et maintenant la suite :

Elias, tel était son nom, venait juste de se rassoir après mes excuses dites rapidement. Il est vrai que je n'avais pas à lui répondre ainsi et aussi ce n'était pas vraiment mon habitude de répondre de cette façon. Après un petit instant de silence, je vis ses iris noisette se plonger dans les miens. Elias m'annonça que toutes les histoires l'intéressaient. Après tout pour un écrivain c'est tout à fait normal. Donc toutes les histoires semblaient l'intéresser et notamment la mienne. Surement dû au fait que j'étais une vulgaire patate sur patte dans mon monde. Buvant une gorgée de son café, il vint de toute manière à ma rappeler qu'il était justement écrivain. Le jeune homme semblait vivre des histoires qu'il apprenait sur les habitants de Storybrook. Il semblait même vivre de cela. A cet instant, je reconnais que la curiosité m'emporta sur le fait de savoir qui il était dans son monde. Mais le fait qu'Elias apprenne quand même qui je suis dans mon monde, cela allait-il vraiment l'aider. Honnêtement j'en doutais fermement. Mais bon qu'avais-je à perdre à lui parler de moi. Et puis, j'avais ce sentiment que je pouvais tout lui dire, ce sentiment qui me disait qu'il était un homme bienveillant et de confiance. J'en profitais donc pour prendre une nouvelle bouchée de ma salade. Après tout, si je répondais à ces questions, je pouvais aussi manger en même temps. Et puis comme je l'ai déjà dit j'étais en congé cette après-midi. Un peu de compagnie ne me ferait pas du mal. Le jeune écrivain reposa une nouvelle fois sa tasse sur la table avant de reprendre la parole.

- "Écoute. Je peux comprendre que tu ne veuilles pas me parler ou même que je te fasses peur. J'ai la tête pour l'emploi. Je suis pas psychologue Zack, je veux juste comprendre qui sont les habitants de la ville et peut-être les aider à retrouver une certaine sérénité. Rien de plus"

Durant ses deux phrases tu le vis sourire légèrement, ouvrant son carnet et ayant déjà son stylo en main. Suite à sa première remarque, je vins à en sourire amusé. Si lui, il avait une tête à faire peur, que faudrait-il dire sur les autres ? J'ai bien des noms pour citez en exemple, mais non je vais garder çà dans un coin tordu de mon esprit. Que j'hésite à lui parler peut être, mais je sens cet aura qui se dégage de lui, cet aura qui me dit que je pouvais lui faire confiance et lui parler. Et puis peur de lui nullement.

- "Je vous rassure vous n'avez pas une tête qui me fait peur. Et puis ce n'est pas le fait que je ne souhaites pas vous parler ... et pour mon attitude de tout à l'heure je m'en excuse encore une fois. C'est .... juste que j'étais pensif. Je l'ai retrouvé, c'était mon vœu le plus cher, je pensais ne plus la revoir .. mais mon maître doit aussi être ici à Storybrook ..."

Mes derniers mots me firent baisser mon regard. Oui j'avais retrouvé ma reine des licornes et cela depuis quelques mois. Je l'aimais et je l’aime encore aujourd'hui. Mais depuis ces quelques mois où nous avons parlé, nous avions discuté tous les deux. Agnès ressentait la même chose, et nous espérions tous les deux retrouver Gru. Sauf qu'il n'accepterait jamais cet amour, nous le savions aussi bien l'un que l'autre. Aujourd'hui Agnès est ma petite sœur de cœur et je serais toujours là pour elle et elle le sait. Mais Par rapport à Gru, j'étais son minion, sa création. J’en suis venu à considéré qu'en tant que minion, nous n'étions rien, juste la création pour servir le maître. A l'origine, nous ne sommes pas censés exister. Ce que je craignais plus que tout, C'est qu'une fois que j'aurais retrouvé Gru, c'est qu'il me considère encore comme son appartenance. Sauf qu'ici j'étais un homme et non pas sa création. Elias voulait son histoire ? Il allait l'avoir. Mon regard se porta sur le sien, prêt à répondre à ses questions.

- "Vous voulez savoir qui je suis ... soit ! Dans mon monde je ne suis rien .. en fait je ne suis pas censé exister. Je ne suis qu'une création de mon maître ... Gru. Ils nous à créer .. nous ses minions. C'est le nom qu'il nous à donner. De pathétique pomme de terre sur patte.."

Bien sûr je pris soins de lui détailler comme nous étions. J'ai essayé au moins de me détruire. Je n'avais pas le courage de décrire tous mes frères. Et puis nous étions tous pareils. Hors-mi le fait que certains d'entre nous avaient un œil, et les autres avaient deux yeux. Des petites pommes de terre ayant une espèce de salopette bleue. Depuis que la malédiction n'était plus, que je m'étais souvenu de qui j'étais, j'étais satisfait d'être cet homme. Au moins, je n'étais plus ce faible et pathétique petit minion.

- "Mes frères.. comme je les appel .. mes frères et moi sommes ses créations et nous n'avons qu'un but .. le servir..."

C'est alors que j'eus ce sourire aux lèvres. Ce sourire était comme une source lumineuse qui venait éclaircirent les ténèbres. Oui nous passions notre vie à le servir, mais arriva ce jours où elles arrivèrent. Ce jours où pour moi arriva Agnès. Même si je n'étais qu'un minion, Agnès avait changé ma vie et mon existence. La reine des licornes et ses deux sœurs avaient même réussi à changer Gru. Lui qui ne pensait qu'à conquérir le monde, ses petites filles étaient devenues ce qui lui était maintenant le plus cher au monde. Ce sourire était toujours accroché à mes lèvres.

- "Puis elles sont arrivées au sein du manoir ... elle est arrivée dans ma vie .."

Mon regard s'était fixé sur le centre de la table. J'en parlais comme l'un des plus beaux moments de ma vie. Et dans ma vie de minion, c'était le cas. L'arrivée de la reine des licornes a vraiment été l'un des plus beaux jours de mon existence en tant que minion.
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MessageSujet: Re: ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked.   ▲ Oh, my gosh.I'm not myself. That crazy gizmo really worked. EmptyLun 10 Nov - 13:37


Blablabla. Des excuses futiles, il n'en avait pas besoin. Elias était assis à cette table, carnet en main , prêt à entendre un récit fascinant non pas de vulgaires excuses portées à son égard. Il avait l'habitude d'être malmené et maltraité par ses compères de Storybrook mais il n'avait pas le choix si l'écrivain voulut rédiger le récit parfait qui ferait mouche auprès des plus grandes boites de production de la ville. Les rêves de la souris s'élevaient au delà du simple récit, s'approchant un peu plus dangereusement du cinéma et de son oeuvre qu'il souhaitait voir un jour sur les grands écrans. Le plus grand défaut du mage était de vivre uniquement de ses rêves et non pas de la réalité, même si il avait eu l'occasion de la dévorer à maintes reprises cette même réalité et ce n'était pas Rachelle qui lui prouverait le contraire, bien sûr. Aujourd'hui il avait prit un énième café corsé, en écoutant avec attention le dialogue amusant de cet habitant dont il ignorait jusqu'à aujourd'hui l'existence, préférant chercher l'inspiration entre Granny et sa soubrette Rubis aux formes généreuses. L'homme était d'ailleurs persuadé qu'elle ne manquera pas de trouver son grand amour tôt ou tard vu sa beauté enchanteresse. Elias dévoilait ses dents blanches à son interlocuteur sans chercher à rétorquer à nouveau à ses excuses, de toute manière si il le ferait, Zack le ferait à son tour et un dialogue de sourd serait entamé sans fin, sans personne pour y mettre un terme. Il secouait légèrement la tête avant de plisser les yeux et d'approcher son visage au centre de la table, le crayon dans sa main droite commençant à le titiller légèrement pour qu'il inscrit quelques mots sur cette feuille vierge. Si ses excuses ne fit pas mouche, en revanche, le reste de ses révélations intéressaient grandement nôtre écrivain en manque d'inspiration. « Je l'ai retrouvé, c'était mon vœu le plus cher, je pensais ne plus la revoir .. mais mon maître doit aussi être ici à Storybrook » Première hypothèse; Zack était un animal dans une vie antérieure, et par le qualificatif de maître autant dire que la liste pouvait être longue en passant de chien domestique à chat fugueur , pourquoi pas furet pendant qu'on y est. L'écrivain vint poser ses deux yeux sur sa feuille de papier glacée, commençant à dessiner plusieurs hypothèses au fil de la discussion sans pour autant interrompre son interlocuteur assez remué.

La tristesse, la peine, la rancœur, les remords et les regrets. Tout ça était la base d'une histoire parfaite rédigée soigneusement, les histoires palpitantes comme il en rêve depuis sa plus tendre enfance. La souris enchantée sourit inconsciemment, faiblement , sans chercher à montrer à Zack qu'il se foutait royalement de ce qui pouvait lui raconter, bien au contraire, il avait besoin d'en savoir un peu plus.«Vous voulez savoir qui je suis ... soit ! Dans mon monde je ne suis rien .. en fait je ne suis pas censé exister. Je ne suis qu'une création de mon maître ... Gru. Ils nous à créer .. nous ses minions. C'est le nom qu'il nous à donner. De pathétique pomme de terre sur patte.Mes frères.. comme je les appel .. mes frères et moi sommes ses créations et nous n'avons qu'un but .. le servir.Puis elles sont arrivées au sein du manoir ... elle est arrivée dans ma vie» Les yeux du dessinateur vinrent se relever instinctivement croisant les iris déstabilisées et déboussolées de son vis à vis. Automatiquement, il laissait glisser ce crayon d'entre ses doigts, fermant son cahier par la suite. Encore une bien bonne histoire à écouter, à ancrer dans un coin de tête. Le buste bombé , Elias laissait échapper un long soupire en agrippant la poignée de sa tasse ébréchée afin de boire le contenu de son café tiède, il grimaçait en fermant les yeux. « Laisse moi deviner. Tu es tombé amoureux d'elle, seulement, la dîtes demoiselle ne fait pas attention à toi et préfère vadrouiller ailleurs, profiter de son existence pour mieux t'accabler d'avantage. J'me trompes?» Non Elias. Tu confonds juste ta situation à la sienne. Pensa t-il en figeant son regard sur le liquide brun coincé au fond de sa tasse repensant inlassablement à Rachelle et aux pouvoirs qu'elle exerçait sur sa petite personne, sur son cœur et son être entier. Rachelle était l'unique personne qui avait ce don, le foutu don de le rendre complètement fou, fou à lier au point de tout envoyer valser juste pour serrer à nouveau son visage entre ses deux mains, pouvoir l'embrasser à en perdre haleine, lui montrer qu'il est le seul et unique qu'elle aurait l'occasion de pouvoir aimer un jour dans sa misérable vie, méprisant tout les hommes qui chercheraient de près comme de loin à se rapprocher d'elle. Au fil de ses pensées, l'écrivain vint serrer un peu plus sa poigne sur la tasse de café, finissant par expulser un unique dernier souffle en fermant les yeux.«Pardonnes moi. Tu disais donc? Elles sont arrivées et? » Prononça t-il d'une voix suave en ouvrant les yeux, un sourire de coin aux lèvres. Il n'effrayerait pas Zack ce n'était pas son but, il n'avait pas besoin de parler de lui, le principal était de savoir l'histoire face à lui et non pas qu'il retranscrit la sienne en cette pauvre créature, cette petite patate jaune qui à crû pouvoir aimer un jour.
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