ϟ nom : Inconnu à ce jour. ϟ prénom : Emily aussi appelée "La mariée cadavérique". ϟ date de naissance : Un fastidieux mois d'automne.ϟ Âge : Physiquement 25 ans, réellement plus de quarante ans. ϟ lieu de naissance : Au Sinisterland, entre les squelettes chantants et les araignées fileuses. ϟ lieu de résidence : Sinisterland, parmi les morts. ϟ métier(s), occupations : Mariée Cadavérique à la recherche de son tendre amour, celui qui viendrait la libérer de sa malédiction. ϟ orientation sexuelle : Humanophile à tendance Victorophile. ϟ statut social : Fiancée une première fois, puis mariée pour finir célibataire. ϟ groupe : I'm cursed. ϟ rang : The Corpse Bride. ϟ personnage [] inventé [x] tiré d'un conte/autre... ϟ son univers : Les noces Funèbres.


ϟ Quels sont vos signes particuliers ? La mariée cadavérique elle est douce, elle valse tellement bien. Elle attend sagement son unique amour, celui qui lui redonnera goût à la vie, qui l'empêchera de broyer du noir. La mariée cadavérique, squelette parfait de l'éternelle mariée patiente et naïve à la longue traîne et à la robe déchirée, au bouquet bleuté. D'une peau immaculée, elle observe attentivement les passants de ses yeux ahuris, de son visage creusé. Vous la croiserez sûrement dans un coin exclu du cimetière, la main levée en l'air. Elle vous apparaîtra fade et effrayante, la chevelure retombant sur les épaules aussi bleue que ne pourrait l'être sa peau, la jambe et la main squelettique mais n'ayez craintes, elle ne vous fera rien, du moins pas tant que vous ne lui passiez l'anneau au doigt.

ϟ Quelles sont vos principales habitudes/manies ? Elle est merveilleuse la jolie mariée à espérer, espérer impatiemment que l'homme de sa vie se manifeste, qu'il la comble de joie et d'amour. Elle est la, main tendue en l'air, annulaire relevé, attendant patiemment qu'un homme lui passe la bague au doigt. Elle a attendu tellement de temps ce fameux jour, celui ou elle pourra renaître de ses cendres, celui qui la rendra heureuse. Il est arrivé.Elle pût valser à nouveau, danser et jouer du piano comme avant , elle pût sourire et chanter , se confier à ses consœurs , espérer, être libérer avant d'être à nouveau brisée.

ϟ Quels sont vos qualités, vos défauts ? Emily jolie est naïve et cupide. Un peu rêveuse sur les bords, elle rêve souvent du grand amour et ne désespère jamais de le voir arriver. Pétillante jeune femme ambitieuse et courageuse, rien ne semble l'effrayer. La mariée cadavérique demeure mystérieuse et secrète, enchanteresse mais effrayante. Elle n'a jamais compris véritablement pourquoi le monde autour d'elle semblait pris de peur en la voyant, elle n'est pas méchante, bien plus inoffensive et fragile qu'autre chose. De par son apparence squelettique , la belle n'est pas très expressive et ne montre que très rarement ses ressentis et sentiments, préférant les dissimuler au plus profond de sa cage thoracique vide. Grande sentimentale, le cadavre est quelque fois poète , une mal aimée incomprise qui ne comprend pas grand chose aux mystères de la vie. Emily représente à elle seule l'élégance et l'éloquence , la grâce et la volupté, sublime jeune femme au corps bien fait, le squelette se porte bien , la tête relevée, le dos droit, une dame qui n'a pas l'air de croire qu'elle est pourtant décédée depuis un petit moment.

ϟ De quel camp faites-vous partie ? Il faut de tout pour faire un monde. De la lumière, de l'obscurité. Le monde ne peut aller sans l'un ni l'autre, et si Victor est la lumière de ce monde, Emily en est l'obscurité et pourtant rien ne semble montrer qu'elle est néfaste ou malveillante. Les camps se forment selon les personnalités des personnes, dans le cas de Emily elle ne se rangera que dans son propre camp ou auprès des personnes qui seront la pour elle, pour l'aider à se remettre, et non pas pour la faire sombrer un peu plus sous terre.

ϟ Quel(s) est/sont votre/vos ennemi(s) ? Son plus grand ennemi de tout les temps est ce duc ; Barkis. Cet homme qui un jour lui a fait croire qu'il l'aimait profondément, qu'il était prêt à tout pour elle, prêt à l'épouser pour mieux hériter de sa fortune et la tuer vulgairement comme l'on abattrait un animal. Il n'a aucune valeur, aucun scrupule. Il est sa destruction, la raison pour laquelle elle erre ainsi comme une pauvre âme à la recherche de son grand amour.

ϟ Avez-vous une quête à accomplir ? Vivre en paix avec elle même. Se défaire de ses illusions macabres, du grand amour et de ses rêves d'avenir auprès d'un homme mort ou vivant.

ϟ Avez-vous des objets dont vous ne vous séparez jamais ? Une robe blanche immaculée tachée, un bouquet de fleur bleues et ce voile au dessus de sa tête, vestiges de son désespoir.

ϟ Avez-vous déjà été confronté à la magie ? Pour remonter dans le monde des vivants oui. Une fois, quoi que non, deux fois au total mais à chaque fois déçue par cette magie, la belle préfère ne pas y avoir affaire, loin d'elle, elle se sent bien, ou du moins c'est ce qu'elle aimerait se convaincre à elle même.

ϟ Quelle est la dernière chose que vous faisiez avant que le sort ne vous envoie dans notre monde ? La main sur la poitrine, un faible sourire aux lèvres, elle laissait cette unique perle cristalline rouler le long de sa joue en observant l'union de l'homme qu'elle crût aimer, l'homme qui était devenu son époux par maladresse. Elle jalousait la beauté de Victoria, sa chair chaude, son sang bouillant et l'unique cœur qui battait dans sa poitrine à cet instant , envieuse de connaître un jour ce même sentiment, de ressentir toutes ses merveilleuses choses qui l'avait comblée lorsqu'elle était encore cette pauvre humaine faible et fragile.

ϟ Un dernier mot ? Si je touche la flamme d’une chandelle, je n’ai aucune douleur, si on m’enfonce un couteau je n’ai pas peur. Je sais qu’elle a un cœur qui bat et que tout est mort en moi. J’ai pourtant cette douleur, qui me dit que ce n’est qu’un leurre, qu’il me reste encore une larme à verser.

ϟ nom : Rosenberg. ϟ prénom : Emily Rosalia ϟ date de naissance : 14 Février 1988ϟ Âge : Vingt six ans. ϟ lieu de naissance : Paris, France. ϟ lieu de résidence : Au centre ville même. ϟ métier(s), occupations : Institutrice professionnelle et souriante, grande pianiste à ses heures perdues. ϟ orientation sexuelle : Hétérosexuelle complexée par une Haptophobie et Humanophobie légère. ϟ statut social : Célibataire, elle se porte très bien seule, du moins pour le moment.

ϟ Quels sont vos nouveaux signes particuliers ? Les doigts crispés serrent avec difficulté cet unique crayon dans sa main. Elle désespère en grimaçant, laissant apparaître sur son corps entier diverses sueurs froides effrayées par les enfants pénétrant dans sa classe. Un sourire forcée aux lèvres, l'institutrice atteinte de Haptophobie se tient à l'écart de tous, luttant intérieurement pour ne pas défaillir en récupérer manteaux et sacs de ses élèves. La tête enfouie entre les épaules, elle longe les murs pour ne croiser personne sur sa route, craignant de devoir sympathiser, parler ou même toucher une quelconque personne. Un rien ne l'effraye, tout comme le monde dans lequel elle vit. La plupart de son temps, vous la verrait chez Archi à tenter de comprendre le comment du pourquoi elle agit de cette manière. Hormis sa maladie omniprésente dans son quotidien rien ne distingue réellement la belle Emily des autres personnalités se trouvant à Storybrook, il y aurait pourtant cette maigreur qui aurait effrayé plus d'une fois Mère grand qui essayerait par n'importe quel moyen à lui redonner du poids en la gavant d'hamburger.

ϟ Quelles sont vos nouvelles principales habitudes/manies ? On la voit tortiller ses doigts nerveusement, le pied battant au sol. Elle ferme les yeux pour tenter de passer à autre chose, tapotant son crayon nerveusement contre le bureau boisé de sa salle de classe, relevant ses lunettes de vue progressive. Elle supporte sa journée de travail avant de prendre blouson et sac pour rejoindre le bureau froid du psychologue de la ville, Archi. Elle se confie, elle trifouille des mèches diverses de sa chevelure, elle baisse les yeux au sol pour ne pas croiser les regards accusateurs de son psychologue, elle veut pas se confier mais elle a pas le choix. La seule chose qui l'aide à oublier c'est la musique et ses doigtés sur le piano à queue dans sa maisonnette. Elle ne se sent bien que enfermée chez elle. Elle hurle dès qu'un insecte s'approche d'elle, elle se recroqueville sur elle même en sentant de l'agitation autour d'elle, elle à peur, elle est effrayée mais personne ne peux réellement l'aider à surmonter son soucis, alors elle se tapit dans l'ombre, chocolat chaud en main, le regard livide, et ce tout les soirs. Son quotidien, ses habitudes sont un peu les mêmes chaque jours.

ϟ Quels sont vos nouvelles qualités, vos nouveaux défauts ? Emily n'est pas méchante bien au contraire. Douce et généreuse, sociable et agréable, une magnifique jeune femme de bonne famille d'apparence. Elle rit souvent pour rien et sourit quasiment la plupart du temps. Elle ne tend jamais la main pour saluer les inconnus, sans leur dévoiler qu'elle est en réalité Haptophobe. La peur de toucher et d'être touchée par quelqu'un, quelque chose. La jeune femme ignore cependant d'ou peut provenir la raison de ses maux mais elle tente de les combattre jour après jour en allant se confier à l'unique psychologue de la ville; Archi. Lui même ne semble pas comprendre le comment du pourquoi une femme aussi chaleureuse et ambitieuse telle que Emily puisse être ainsi. Il creuse, il cherche à comprendre dans son passé torturé, mais rien ne lui vient en tête. Emily n'est qu'une jeune femme comme les autres, agréable à l'écoute et à la vue, gentille et bienveillante qui ne veut de mal à personne. Certes, quelque fois impulsive et défensive sur les bords, à sans cesse vouloir se préserver des approches des personnes qui l'entoure et notamment de la gente masculine qui physiquement est plus apte à l’intéresser qu'autre chose. Il avance, elle recule, il lève la main elle se protège le visage, Emily est ainsi, effrayée et malheureuse. Elle ne veut s'attacher à personne de peur d'être déçue ou de décevoir, pauvre malade tétanisée, elle se terre dans son malheur et sa froideur, ne souhaitait se confier qu'au psychologue, la seule personne qui l'écoute réellement et qui puisse comprendre ses doutes, ses regrets et ses remords. Finalement, Emily est une jeune femme complexe et complexée, un mystère pour tous qu'il serait intéressant d'élucider.

ϟ À cause de la malédiction, les habitants de Storybrooke ont vécu la même journée pendant vingt-huit ans, jusqu'à l'arrivée d'Emma Swan. Décrivez-nous cette journée répétitive : Le repos éternel serait suffisant pour ne pas devoir constamment souffrir de la même peur, de la même phobie éternelle inguérissable. Sa poitrine en souffre encore à l'heure actuelle, une déchirure cardiaque qui ne se refermera sûrement jamais. Au petit matin, l'institutrice avale quelques gorgées d'un jus d'orange pressée au petit matin. Rien que ça avant d'attraper affaires pour se ruer jusqu'à l'école élémentaire de Storybrook. Aussi pressée que son jus la belle croise le maire de la ville semblant en pleine conversation intense avec la seconde maîtresse d'école; Mary Margaret Blanchard, toutes deux ont dû encore se bousculer ce matin, comme d'habitude. Un soupire se décroche des lèvres du cadavre errant en ville et alors qu'elle approche de sa classe, ses élèves sont tous déjà assis, souriant de toutes leurs dents blanches et immaculées. Un sourire orne également ses lèvres, forcé et crispé tout comme l'est son corps. Finalement, la journée se déroule sans encombre et les enfants sont très fier du cours de musique proposé par leur professeur. Ils s'en vont guilleret tenant fermement les mains chaudes de leurs géniteurs et génitrices, laissant une Emily livide et seule, égale à elle même. Un nouveau soupire s'échappe de ses lèvres macabres tandis qu'elle se précipite à l'extérieur de la bâtisse pour rejoindre Archi. Le verdict tombe ; Rien ni personne ne pourrait la guérir de ses phobies humanitaires, Emily semble condamnée à tout jamais à vivre avec cette pseudo maladie incurable. Son cœur cesse instantanément de battre, ses projets d'avenir s'envolent comme les feuilles des arbres. Jamais elle n'aura le droit au bonheur, ni même à ce fichu cliché de famille parfaite, d'homme aimant et fidèle, de ventre rond ou de joie d'être un jour mère. Une larme perle le long de sa joue, venant s'abattre contre le sol mais alors que le psychologue s'avance pour tenter une ultime consolation, la belle se lève brusquement , le corps secoué de spasmes elle prend congé pour rentrer chez elle, refusant d'en connaître d'avantage sur les prémices de son avenir sombre. Elle pleure, on ne l'arrête plus, seul le sommeil éternel l'embrasse, la berce et la réconforte. Elle s'endort, prête à revivre le même rituel et ce continuellement.


ϟ La nouvelle vie de ton personnage en quelques lignes :





Ses dorures et ses merveilles, ses sourires gigantesques et ses belles promesses d'avenir, elle s'en était souvenu comme ci quelqu'un ou quelque chose cherchait à lui rappeler ses choses qui n'étaient pas réels. Archi était la, les jambes croisés à écouter attentivement son discours, les yeux plissés, la bouche entre ouverte, prêt à réagir à ses paroles. Face à lui, Emily souriait bêtement, les yeux rivés au sol, son pied tapotant nerveusement contre la moquette du bureau du psychologue. Elle lui tout raconté, les quelques brides de ses souvenirs passés à Paris. De ses parents bienveillants et bourgeois, du fait qu'ils souhaitaient plus que tout voir leur fille unique heureuse et aimée par un homme qui lui était destiné. Elle fermait les yeux pour tenter de se souvenir du visage de ses proches mais rien ne lui vint réellement à l'esprit si ce n'est cette maudite Haptophobie. Le visage pâle, les cernes sous les yeux, elle s'était confiée sur ce problème qui lui rongeait les entrailles depuis maintenant sa plus tendre enfance. Du peu qu'elle s'en souvient, Emily a toujours vécue à Storybrook, arrivée ici par un concours de circonstance après avoir obtenu haut la main son diplôme à Paris, la belle institutrice ne semblait en rien regretter son ancienne vie, bien au contraire. Ses souvenirs étaient flous, elle ne se voyait pas petite fille à gambader dans les jardins d'une somptueuse demeure, elle ne voyait pas ses sourires et ses marques d'affections, rien ne lui parvint en tête, uniquement son arrivée à Storybrook et ses nombreuses consultations auprès de Archi qui ne semblaient mener à rien. Elle cherchait à comprendre, encore et toujours pourquoi était-elle la seule aussi malade, la seule qui n'avait pas le droit au bonheur, la seule qui n'avait pas le droit d'être touchée, d'être embrassée, d'être aimée. A croire qu'elle fût maudite dans une vie antérieur, Emily souriait toujours bêtement à son psychologue en croisant les bras contre sa poitrine. Ils avaient tout deux essayés bien des choses pour canaliser sa maladie, mais rien n'avait réellement fonctionné pas même les thérapies mentales proposées par Archi. Fouiller dans les méandre de sa mémoire, dans ses souvenirs les plus profonds ne semblait pas fonctionner, la belle en fût plus torturée que guérie, rien de son antique vie ne vint l'aider concernant ses soucis car tout n'était qu'un vulgaire tissu de mensonge rédigé de toute pièce par Regina et sa malédiction.

La malade torturée et Alzheimer crût ne jamais pouvoir trouver les raisons de ses maux jusqu'à ce que cette coccinelle jaune et une petite tête blonde était venue tout remettre en question. La bouche ouverte, l'institutrice venait tout juste de quitter le psychologue quand elle croisait la route de Emma Swan et de celui qui s'est avéré être son fils légitime, Henry Mills, en l’occurrence le fils adoptif du maire de la ville. Les yeux rivés sur cette jolie blonde mince au caractère trempé, un sourire niais se dessina sur les lèvres de la brune qui reprit sa route jusqu'à chez elle, se doutant que les choses changeraient dès lors, et elle eut raison. Les lendemains ne furent plus les mêmes, bien plus mouvementées, plus vivant. En à peine quelques jours Emma Swan devint shérif de la ville pour le bonheur de tous, mais aussi ennemi numéro un de Regina Mills. D'ailleurs, Emily ne manquait pas d'en faire part à Archi, cherchant à savoir qui pouvait-elle être réellement pour fasciner autant le maire de la ville, Archi semblait proche d'elle mais aussi d'Henry, et c'est auprès de lui que la mariée cadavérique voulut en savoir plus, en bonne curieuse qu'elle était. Finalement, elle trouva plus rapidement réponses à ses questions dès l'instant ou la malédiction fut rompue. Ce jour la, ils étaient tous la à se tenir dans les bras, à se rappeler qui ils étaient, à se rappeler des choses enfouis, des souvenirs merveilleux auprès de leur tendre amour, mais elle, la mariée mortuaire resta seule et égale à elle même. Elle comprit subitement son dégoût pour l'humanité et le fait qu'elle ne souhaitait être touchée par personne. Elle était Emily, la mariée cadavérique, une épouse maudite qui avait souffert dans d'atroces souffrances, épouse d'un conte qui l'avait tuée pour hériter de sa fortune, jeune divorcée qui s'était éprise par la suite d'un jeune pianiste ; Victor Van Dort. Sa vie n'était fait que de souffrance et de désarroi, d'épouvante et d'effroi, Emily semblait condamnée à vivre seule et égale à elle même à tout jamais. Le corps immobile devant l'entrée du cabinet du docteur Archi, le cadavre se tenait debout, les yeux baignés de larmes, elle comprit, un sourire aux lèvres que son Haptophobie venait de la, de son dégoût pour l'amour , de ce sentiment qui l'avait détruit dans son antique vie. L'Humanophobe voulut devenir cendre et squelettique comme elle l'avait toujours étais, répugnée de voir ses joues roses, ses sourires niais et ses cœurs battant à l'unisson, Emily voulait rester Emily avant tout, souhaitant par dessus tout oublier le fait qu'elle avait était une macabre mariée, oublier ses douleurs et ses malheurs mais l'oubli est trop long à accepter, trop dur même et ce n'est pas avec les divers événements à Storybrook qu'elle parviendra à s'y faire..