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 Les histoires d'Ayala James

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MessageSujet: Les histoires d'Ayala James   Les histoires d'Ayala James EmptyVen 22 Avr - 11:46



Ayala James


DATE DE NAISSANCE : 21 Juin 1990 Ϟ ÂGE : 25 ans Ϟ LIEU DE NAISSANCE : Storybrooke, Maine, Etat-Unis Ϟ LIEU DE RÉSIDENCE : appartement au dessus de sa boutique Ϟ MÉTIER(S), OCCUPATIONS : Pâtissière Ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel Ϟ STATUT SOCIAL : Mère célibataire Ϟ VERITABLE IDENTITÉE : Fawn Ϟ ORIGINE : Forêt Enchantée Ϟ STATUT : Grande princesse de la forêt & Mére de Bambi

en quelques mots

Fawn a toujours été une biche douce, aimante et maternel. Tenant probablement ces qualité de sa mère puisqu'elle ne manqua jamais d'amour. Cette dernière lui à également appris la patience et la sagesse et cela l'a toujours aider. Que ce soit avec Bambi ou avec son père. Elle n'a jamais regretter d'être tombée amoureuse de celui-ci. Elle lui a toujours pardonner son caractère un peu froid. Elle ne possède pas de super pouvoir mais elle fait confiance à son instinct. Elle sait quand elle est observée et quand un danger est proche.

Ayala reste très protectrice et aimante, même sans son coeur. Elle a cependant beaucoup de mal à se faire des amies et a ressentir quelque chose pour les gens qu'elle ne connait pas depuis un moment.


en détails

Je suis née dans un sous bois de la forêt enchantée. En réalité je ne suis pas si âgée que cela, je n’ai que quelques années. Ma vie a toujours été tel un long fleuve tranquille. Les seules perturbations que nous pouvons avoir étaient les hommes. Ils se pensaient les maîtres de ces bois. Ils pensaient pouvoir tout dominer. Pourtant ils ignoraient même jusqu’à notre mode de vie.

Je n’ai pas toujours été la princesse de cette forêt. Je n’étais qu’une jeune faon que ma mère avait nommée Fawn. Et j’étais heureuse de n’être que cela. Je ne désirais pas plus et la vie était simple. Facile. Jeune et innocente, j’appris tout de même qu’il existait des dangers. Et j’appris à les reconnaître, a les sentir, les ressentir.

Ma vie changea lorsque je le rencontrais. A l’époque il était le jeune prince et il avait ce petit comportement, cette manière d’être que je retrouvais bien plus tard chez Bambi. A l’époque il n’était pas ce grand cerf mystique, énigmatique qui veillait sur le troupeau. Il n’était qu’un jeune faon qui désirait découvrir son entourage.

Je ne le voyais que très rarement, même en faisant partit du même troupeau nous n’étions que rarement aux mêmes endroits en même temps. Je retrouvais bien plus souvent ma meilleure amie Mena. Mais jamais je ne réussis à oublier de jeune faon fougueux.

Les années passaient et il vint la saison des amours. Si avant cette année là je ne comprenais pas quel intérêt il y avait réellement à cette saison au printemps, je le compris très rapidement lorsque mes yeux se posèrent sur lui. Je me fichais bien des autres prétendants, dés que mes yeux se posèrent sur lui, tout les autres n’existait plus. Le monde qui nous entourait s’effaça peu à peu.

J’étais devenu sa compagne. Je tombais enceinte quelques temps plus tard et Bambi naquit à la fin de l’hiver. Le printemps n’avait pas encore eut le temps de pointer le bout de son nez, la neige dominait encore la forêt enchantée. Mais je ne pouvais pas être plus combler. Certes, tout n’était pas parfait. Il avait repris la flambeau de son père et était devenu le grand prince de la forêt. Il n’était que très peu présent, mais il veillait toujours sur nous et je pouvais toujours l’apercevoir au loin, surplombant le troupeau ou sa famille. Je savais que nous n’avions rien à craindre.

Oh combien j’avais tord… Mais ce n’était pas sa faute et jamais l’idée de lui en vouloir ne me serait venue à l’esprit.

J’avais voulu faire découvrir à Bambi les plaines qui commençait tout juste à verdoyer. Je lui avais demandé d’être sage et d’écouter. Mais il était encore trop jeune et fougueux, a peine eut-il vue la plaine qu’il se jeta dedans pour y courir. Je dû le rappeler à l’ordre et il n’eut pas le temps de gambader plus qu’il revint vers moi et ce fût à mon tour de sortir, prudemment dans la plaine pour veiller qu’il n’y ait aucun danger. Je ne ressentis rien de négatif, je l’appelais donc avec un sourire. Ce n’était pas la première fois que nous sortions ainsi. Mais c’était la première fois que nous étions seuls dans une plaine. Les bois bordais celle-ci et la neige encore présente rendait l’endroit presque féérique.

J’étais heureuse de le voir ainsi. Je ne me rendis que trop tard que nous étions observé. Je levais la tête et scrutais les environs, faisant attention au moindre son.

« Bambi ! » Un pas de course faisant craquer les branches attira mon attention. Et je ne le vis que trop tard. « Cours Bambi ! Cours ! » Mais il était déjà trop tard, le chasseur était trop proche. Bambi avait hésité et il n’avait pas autant d’avance que je ne l’aurais souhaité. Je ne pouvais que lui crier « Ne regarde pas en arrière ! Continue de courir ! » Mais je ne le suivait plus, il avait suivit mes instructions, c’était mon rôle de veiller à sa sécurité. J’attirais donc l’attention du chasseur qui me poursuivit. Je fus soulagée qu’il ne poursuive pas le faon qui aurait été une proie bien plus facile.

Je courrais aussi vite et aussi loin que je le pouvais. Je m’éloignais un maximum du troupeau. Je veillais toujours à ce qu’il me poursuive. Je ne voulais pas qu’il retourne en arrière. Mais je ne faisais pas si attention que cela à où j’allais et je tombais dans un piège. Eventuellement, le chasseur me rattrapa.

Il posa son regard sur moi. Il n’avait pas l’air heureux. Je pus voir une larme couler le long de sa joue et je ne compris pas. J’avais peur, je savais que c’était la fin pour moi mais je ne pouvais plus m’enfuir. En tombant dans ce piège, je m’étais casser la patte et je ne pouvais que poser mon regard de biche sur lui alors qu’il s’approchait de moi.

Sa main se plongea dans ma poitrine et je fus saisit par la douleur. J’avais envie de hurler mais aucun son ne sortait. A peine quelques secondes plus tard, comme si l’action lui faisait aussi mal qu’à moi, il sortir mon cœur de ma poitrine et je pus le voir, rouge, éclatant dans sa main ganté noir. Je ne savais pas ce qu’il avait fait de moi, je ne savais pas si j’étais toujours réellement vivante ou non. Je ne voyais que son visage au dessus de moi, ces larmes coulant le long de ses joues.

Il rangea mon cœur dans son sac et je ne pus que le regarder avec désespoir. Il murmura ce qui ressemblait à une excuse. Je ne comprenais pas ce qu’il voulait. Il ne semblait pas comme les autres chasseurs. Pourtant il venait de plonger sa main dans ma poitrine et s’en sortir mon cœur. Mais il restait là, pencher sur moi à pleurer. J’essayais de me relever mais un hurlement se fit entendre lorsque je m’appuyais sur ma patte casser. J’entendis alors un bruit de déchirement de tissus. Il essayait d’être le plus délicat possible mais la douleur envahissait mon corps.

Ma patte avait été bandée par le chasseur. Il avait coincé avec le tissu deux bouts de bois. Je n’en comprenais pas l’utilité mais je savais que je ne pouvais pas utiliser ma patte. Il m’avait laissé là au milieu de la forêt, loin de mon troupeau. Je me relevais tant bien que mal et sans utiliser ma patte, je me mis en quête d’un point d’eau.

Je perdis la notion du temps. Je ne savais pas depuis combien de temps j’étais là. Je ne savais même pas s’il me serait un jour possible de retrouver ma famille.

Ma patte fini par guérir. Je me mis alors à la recherche du troupeau. Mais la malédiction frappa ce monde. Et nous nous retrouvâmes dans ce monde sans magie.

Je me réveillais avec les sauts de mon fils sur le lit alors qu’il sautait dessus pour venir me rejoindre. J’affichais un petit sourire en le prenant dans mes bras. Je savais que je devais être heureuse. Mais je n’arrivais pas à ressentir les sentiments.

Je n’avais que dix huit ans quand j’accouchais de Keith. Le père n’étais pas rester. Je ne savais même pas s’il savait réellement qu’il avait un fils. Mais moi même j’avais du mal a me souvenir de son visage. Je savais qu’il existait, je savais que je l’avais rencontrer ici à Storybrooke. Mais quand j’essayais de me souvenir de son visage, de son nom, tout cela m’échappait. J’étais incapable de m’en souvenir.

J’avais donc dût élever mon fils seul et j’avais fais la seule chose que je savais réellement faire pour vivre et subvenir a nos besoin : faire des gâteaux. Je réussis même à ouvrir ma propre petite boutique de pâtisserie qui possédait un appartement à l’étage. Bien sûr Mr Gold venait toujours récupérer le loyer et impossible d’avoir du retard. Mais j’avais toujours réussit à être dans les temps.


sa journée éternelle

Une fois n’est pas coutume, Keith vint sauté sur le lit de sa mère pour la réveiller et se glisser auprès d’elle. Ayala le pris dans ses bras en affichant un petit sourire et déposa un baiser sur son front. C’était leur petit rituel du matin. Elle se levait quelques minutes plus tard et le pressait de se préparer pendant qu’elle même préparait le petit déjeuner. Une fois tout deux prêt, elle l’emmena ensuite à l’école avant de repartir pour ouvrir la boutique. La journée était plutôt calme et elle en profita pour prendre un peu d’avance sur ses commandes de la journée. Quelques clients allait et venait. Elle ne pris une pause que lors du déjeuné lorsque Mr Gold vint réclamer le loyer. Puis elle reprit le travail en début d’après midi et ne fût interrompu que lorsque son fils entra dans la boutique et vint vers elle en courant. Elle fût très étonnée et découvrit qu’il s’était échappé de l’école lors de la pause déjeunée et s’était rendu dans la forêt où ce monsieur l’avait trouvé. Ayala le fixa un moment, persuadé qu’elle l’avait déjà vu quelque part, persuader de déjà le connaître mais sans réussir à trouver le moindre indice. Elle remercia celui-ci avant de gronder doucement Keith et proposa à Yoan une pâtisserie en remerciement. La journée se fini calmement après le départ du garde forêstier et alors que le petit garçon dormait, la jeune femme parcourut un bloque de dessin par nostalgie et tomba devant un portrait de celui qui lui avait ramener son fils. Le portrait étant daté de 2008…


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