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Tout ce qui se passe au-delà de la saison 1 est à jeter aux oubliettes, merci The Doctor's Revenge ▬ feat. henry & shah-riar 2742709183
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 The Doctor's Revenge ▬ feat. henry & shah-riar

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MessageSujet: The Doctor's Revenge ▬ feat. henry & shah-riar   The Doctor's Revenge ▬ feat. henry & shah-riar EmptyMar 23 Juil - 18:20





Introduction



Époque du sujet : Actuelle
Date du sujet : 9 Juillet 2013
Ordre de passage des participants : Shéhérazade, Henry puis Shah-Riar



Assise sur le rebord du bureau, Shéhérazade terminait l'histoire qu'elle avait commencée au début de l'après-midi pour sa classe de première année. Depuis que la malédiction était levée, Tara – qui était redevenue Shéhérazade – n'avait pas beaucoup changé ses habitudes à Storybrooke. Elle était toujours institutrice et aimait toujours autant raconter des histoires à ses élèves pour terminer la journée. « Et ce fut ainsi que Sinbad acheva le récit de son septième et dernier voyage » déclara-t-elle alors que la cloche se mettait à sonner. En un éclair, les élèves quittèrent la salle de classe dans un brouhaha de chaises et de cartables. Un sourire sur les lèvres, la jeune femme alla effacer le tableau et ranger quelques libres. Aussi étonnant que cela puisse paraître, Shéhérazade était heureuse et épanouie depuis que le sortilège avait été rompu. Elle avait retrouvé tous ses souvenirs, son identité, son histoire, mais aussi l'ensemble des personnes auxquelles elle tenait. Son père, sa sœur Dinarzade et son époux Shah-Riar, anciennement connu sous l'identité de Sean Farrakhan. Lorsqu'ils étaient encore envoûtés, il avait été l'homme qu'elle détestait le plus, son pire ennemi. A présent, c'était l'homme qu'elle aimait de tout son coeur, son âme-sœur. Depuis que la malédiction était levée, tous les problèmes de Shéhérazade s'étaient envolés. Elle n'avait plus à s'en faire pour son père, puisque celui-ci ne serait plus persécuté par Sean. Elle pouvait d'ailleurs abandonner sa soif de vengeance envers le journaliste, puisqu'elle connaissait dorénavant son secret. Sa vie à Storybrooke n'avait pas été très différente de celle qu'elle avait eu dans son monde d'origine. Son destin s'était mêlé à celui de Sean par l'intermédiaire de son père. Tara avait été la jeune femme têtue et téméraire qui s'était dressée contre Sean, à l'instar de Shéhérazade qui avait décidé d'épouser Shah-Riar pour mettre fin au massacre que le sultan avait entreprit. Comme dans son palais d'Orient, Tara avait pris des risques en provoquant Sean. Mais heureusement pour elle, Shéhérazade avait de nouveau réchappé à la mort lorsque la malédiction s'était rompue. Quelques jours auparavant, Tara s'était rendue chez Sean pour faire une macabre découverte et le journaliste l'avait surpris la main dans le sac. Il avait bien failli la tuer ce jour-là. Elle avait vécu de nouveau la terrible angoisse qu'elle avait ressenti à chaque aube lorsqu'elle racontait ses histoires au sultan, bien avant qu'il ne l'accepte. Encore une fois, il l'avait épargné.

Mais aujourd'hui tout était fini. Shéhérazade avait retrouvé son époux Shah-Riar et même s'ils étaient loin de leur palais royal, la vie semblait tranquille et simple. La jeune femme appréciait ce nouveau monde si différent du sien. Elle qui avait raconté durant des nuits de fantastiques histoires à propos de pays inconnus et de contrés lointaines ; Storybrooke ne lui apparaissait que comme un nouveau conte. Soudain, des bruits de pas résonnèrent dans le couloir et quelqu'un vint frapper à la porte de sa salle de classe pour la sortir de sa rêverie. « Tara ? » demanda la voix d'une jeune femme que Shéhérazade reconnue comme celle d'une de ses collègues. Elle se retourna. « Tara, l'hôpital vient d'appeler. Il s'agit de ton mari, apparemment il lui est arrivé quelque chose » déclara la jeune femme, le visage blême. Le cœur de Shéhérazade s'arrêta. « Quoi ? Que s'est-il passé ? Est-ce qu'il va bien ? » demanda la sultane fébrile en se précipitant vers sa collègue. Cette dernière haussa les épaules. « Ils n'ont rien voulu me dire. Ils ont juste demandé que tu viennes le plus vite possible » répondit la jeune femme d'un air désolé. Sans plus attendre, Shéhérazade alla récupérer ses affaires près de son bureau et se hâta vers le parking de l'école où elle prit sa voiture direction l'hôpital. Pendant qu'elle conduisait la sultane se rongeait les ongles jusqu'au sang. Qu'était-il arrivé à son époux ? Shéhérazade qui connaissait le tempérament de son mari et ses agissements passés, redoutait soudain le pire. Elle espérait qu'il ne lui soit rien arrivé. Pourtant, elle avait un mauvais pressentiment. Et s'il avait été victime de la bête qui rôdait à Storybrooke ? Non, Shéhérazade ne voulait pas le croire, mais jusqu'à son arrivée à l'hôpital, elle ne pût s'empêcher d'avoir des idées noires. Son mari avait beau être ce qui l'était, c'était à présent quelqu'un de bien, pour qui elle possédait un amour infini. Après s'être garée, Shéhérazade sortit de sa voiture pour se précipiter vers les urgences. Elle traversa le hall d'entrée et vint s'accouder à la réception. « Bonjour. Je m'appelle Tara Afshar, j'ai été appelé à l'école primaire. On m'a dit que mon mari Shah-Riar...enfin Sean Farrakhan avait été admis ici et que je devais venir tout de suite » déclara Shéhérazade en s'adressant à l'infirmière assise derrière la vitre.

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MessageSujet: Re: The Doctor's Revenge ▬ feat. henry & shah-riar   The Doctor's Revenge ▬ feat. henry & shah-riar EmptySam 27 Juil - 17:48



Cela faisait plusieurs jours qu'il paufinait son plan. Son plan de vengeance.

La malédiction avait été levée, mais les choses n'avaient pas radicalement changé depuis. Henry était toujours avec Billy, qui en fait s'appelait Bilbo Baggins, et leur couple fonctionnait plutôt bien. Son petit-ami était d'ailleurs nettement plus entreprenant ce qui ravissait le jeune médecin. Durant les 5 premiers mois où il était ensembles, avant la levée de la malédiction, Billy faisait tout pour garder leur histoire secrète aux yeux des autres habitants de la ville. Il n'arrivait pas à assumer son attirance pour les hommes et encore moins pour Harvey. Mais le docteur s'y était habitué, même si certaines situations le peinaient parfois, il réagissait donc avec cynisme et mauvaise humeur, faisant vivre un enfer à ceux qui avait le malheur de l'approcher.

Ce que Sean Farrakhan subit. Le journaliste, avide de scoop, s'était mis en tête de connaître les petits secrets du docteur Jacobs. Harvey avait très mauvaise réputation à Storybrook, cela était dû aux excursions de Hyde -mais ça personne ne le savait- et il voulait savoir si les rumeurs qui courraient à son sujet étaient vraies. Il pouvait même aller très loin, jusqu'à questionner les employés de l'hôpital qui travaillaient avec le médecin légiste. Ce jour-là, Harvey avait essayé de se contrôler, mais le mit dehors quand il le put. Pour qui se prenait-il celui-là à fureter partout. Il avait une sainte horreur de ce genre de comportement. Et surtout, il avait une peur bleue qu'il arrive à découvrir son secret. Heureusement que ce jour-là, le journaliste n'avait pas eu le temps de questionner le pharmacien de l'officine, le praticien fournissait des neuroleptiques au médecin légiste. Même s'il était lié au secret médical, Harvey ne lui faisait pas confiance. Mais les choses semblaient s'être calmées vers la fin de la malédiction.

Jusqu'à ce qu'il y a quelques jours, alors qu'il se trouvait avec son petit-ami, celui-ci lui révéla qu'un journaliste était venu lui poser des questions à propos de lui. Ces paroles eurent le don de le faire exploser. Sean s'était approché de Bilbo ? Il avait osé essayer de s'insinuer dans sa vie privée ? La rage bouillonnait en lui, il allait lui faire payer.

Ce ne fut pas difficile pour lui de connaître les habitudes et les connaissances du journaliste. Il remarqua même la très jolie jeune femme qu'il prenait dans ses bras. Henry eut un sourire intérieur et il se lança à la rencontre de la jeune femme. Il l'avait abordée avec l'espoir d'en savoir plus. Il ne se souvenait plus du prétexte mais la demoiselle avait été charmante, elle s'appelait Tara, enfin Shéhérazade depuis la levée de la malédiction. Quel nom étrange ? Il s'était plutôt bien entendu avec elle, avait même fait connaissance et nota bien qu'elle serait prête à tout pour l'homme qu'elle aimait. Et dire que cet abruti de Sean avait droit à un amour pareil. Il ne comprenait décidément pas les femmes.

Il appliqua donc son fameux plan. Une fois à l'hôpital, vers la fin de journée, où le lieu était le plus vide, il prit le téléphone qui se trouvait pas loin de la réception -il profitait d'une fameuse pause cigarette- et composa le numéro de l'école primaire de la ville. Il savait que Tara travaillait là-haut. Il prit un ton tout à fait alarmé en déclarant que Sean Farrakhan avait subi un terrible accident, qu'il avait été admis aux urgences de l'hôpital et qu'il appelait désespérément sa femme. Henry était un excellent acteur et jouer les hospitaliers paniqués il adorait ça. La demoiselle rappliqua assez rapidement, c'était trop facile. Il enfila la première blouse qui passait et s'approcha de Shéhérazade et prit un air désemparé : « Enfin, vous êtes là ! J'ai vu Sean entrer aux urgences il y a peu, il hurlait votre prénom ! Pour le moment, il est en salle d'opération, on ne peut pas faire plus. Mais je connais une salle où vous serez au calme et où va passer directement Sean quand son opération se finira. Suivez-moi. »

Et la mena à travers l'hôpital, empruntant les escaliers. Il ouvrit la porte d'une petite salle blanche sans fenêtre sur l'extérieur où se trouvait un lit, une petite table de chevet et une vitre vers le couloir avec des stores qui cachait le dit couloir. Ce que la demoiselle ignorait c'était que cette aile de l'hôpital était totalement délaissée, elle se trouvait juste à côté de la salle d'autopsie de Henry et personne n'osait s'aventurer jusqu'ici. « Je reviens, je vais voir où ils en sont, installez-vous ... » dit-il avait de refermer la porte et de soigneusement la fermer à clef. Un immense sourire satisfait s'étira sur ses lèvres. Il allait enfin s'amuser. Une forme sombre en lui ricana doucement, oh que oui, ils allaient bien s'amuser. Toute la colère qu'il emmagasinait depuis tout ce temps s'insinuait en lui et il ne prit même pas conscience que Hyde prenait tout doucement le contrôle.

Il se rendit en salle de sécurité. Il avait réussi à convaincre la sécurité que leur présence était indispensable à la cafétéria -effectivement un patient psychotique y semait la zizanie, soigneusement libéré par Henry-. Ils en auraient pour un sacré moment, le lascar courant dans tous les sens. Henry s'installa sur une chaise et trouva la bonne caméra. Celle qui filmait la chambre où se trouvait Tara. Avec son téléphone, le docteur prit une belle photo de la belle enfermée et l'envoya à son cher journaliste avec un petit intitulé : "Qui s'y frotte, s'y pique ... La curiosité est un très vilain défaut".

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MessageSujet: Re: The Doctor's Revenge ▬ feat. henry & shah-riar   The Doctor's Revenge ▬ feat. henry & shah-riar EmptyMar 30 Juil - 15:44


Qu'avait-il encore fait ? Que lui était-il arrivé ? Voici les deux questions qui ne cessaient de tourner dans l'esprit de Shéhérazade pendant qu'elle se rendait à l'hôpital au volant de sa voiture. Depuis le premier jour où elle avait rencontré Shah-Riar dans son monde d'origine, Shéhérazade n'avait cessé de se faire du soucis pour lui. En bonne sultane et malgré l'épée de Damoclès avec laquelle elle avait vécu durant plus de mille et unes nuits au-dessus de sa tête, Shéhérazade avait éprouvée dès les premiers instants une grande compassion envers Shah-Riar. Aujourd'hui, cette sympathie s'était transformée en amour et en tendresse, ce qui rendait la sultane terriblement inquiète à l'instant présent. Son époux avait-il été victime d'un simple accident ou n'avait-il récolté que le fruit d'un précédent affront ? Shéhérazade doutait terriblement. Elle connaissait le caractère froid et violent de son bien-aimé. Des traits de caractère qui, associés à une curiosité sans borne, pouvaient lui attirer de gros ennuis. Dans son monde d'origine, la sultane avait pu mettre fin au massacre de centaines de jeunes femmes en s'offrant à Shah-Riar et ainsi le contrôler, mais à Storybrooke c'était une toute autre histoire. Il y a encore quelques temps de cela, chacun avait une identité différente et Sean n'était qu'un petit journaliste fouineur, que même Tara n'avait pas réussi à supporter. Il s'était attaqué à son père, comme à des dizaines d'autres habitants de la ville. Qui savait combien d’ennemis il s'était créé durant la malédiction ? Cette pensée faisait frissonner Shéhérazade. Elle ne pourrait supporter qu'on fasse du mal à son mari, malgré tout ce qu'il avait fait.

La jeune femme traversa le hall de l'hôpital la peur au ventre. Elle alla s'adresser à l’accueil en se présentant comme l'épouse de Shah-Riar et spécifia qu'on l'avait appelé quelques minutes plutôt à l'école primaire. Avec la malédiction levée, Shéhérazade ne savait plus comment elle devait se présenter aux autres habitants. Devait-elle être nommée Tara ou Shéhérazade ? Elle était en partie ces deux personnes. Shéhérazade était le nom qu'on lui avait donné le jour de sa naissance dans son monde d'origine, mais à Storybrooke elle n'était plus sultane, ni perse, ni fille de grand Visir. Seul sa sœur, son père et son époux Shah-Riar savaient qui elle était. Ils étaient ses seuls liens avec sa vie passée. Autant dire, qu'elle tenait à eux plus que n'importe quoi au monde. Si elle pouvait renoncer à son titre royal, elle ne pouvait renoncer à ceux qu'elle aimait. « Enfin, vous êtes là ! » s'exclama une voix derrière elle. Shéhérazade se retourna et reconnue le Docteur Jacobs avec qui elle avait fait connaissance quelques jours plutôt, lors de la levée de la malédiction. L'air désemparé qu'il affichait ne rassurait en rien la jeune femme. « J'ai vu Sean entrer aux urgences il y a peu, il hurlait votre prénom ! Pour le moment, il est en salle d'opération, on ne peut pas faire plus » dit-il en venant à sa rencontre. Le cœur de Shéhérazade sembla s'arrêter durant quelques secondes. Elle étouffa une exclamation d'effroi au creux de sa main. En salle d'opération ? Mais que lui était-il arrivé de si grave pour que cela requière un passage au bloc opératoire ? Dans la panique, la jeune femme saisit la blouse du docteur d'une main fébrile. « Comment ? Mais que s'est-il passé ? » demanda Shéhérazade avec inquiétude. Mais le médecin ne semblait pas enclin à lui répondre. Il l'invita à le suivre à travers l’hôpital afin de la conduire dans une salle où son mari serait transféré à son réveil. Ils montèrent plusieurs escaliers et traversèrent un long couloir immaculé. Durant le trajet, le Docteur Jacobs tenta de la rassurer avec très peu de mots bien que Shéhérazade essayait désespérément de savoir ce qui était arrivé à Sean. « Docteur, dites-moi ce qu'il a, je vous en prie » supplia la jeune femme à plusieurs reprises. « Est-ce que c'est grave ? » continua-t-elle à s'égosiller dans la tourmente. Mais elle n'eut pas de réponse concrète. Le médecin la fit entrer dans une petite pièce blanche munit d'un lit, d'une table de chevet et d'une fenêtre donnant sur le couloir. Shéhérazade fronça les sourcils. « Je reviens, je vais voir où ils en sont, installez-vous... » dit le docteur avant de refermer la porte derrière elle. Soudain prise d'un doute, le jeune femme se retourna pour se prendre la porte au nez. « Attendez...Docteur ! » s'exclama-t-elle dans le vide en frappant sur la porte. Ses yeux s'abaissèrent directement vers la serrure lorsqu'elle entendit un cliquetis significatif. Immédiatement, Shéhérazade tira sur la poignée de la porte. Fermée. Qu'est-ce que cela signifiait ? Elle tira à nouveau sur la porte avec vigueur et frappa sur le panneau de bois. « DOCTEUR ! » scanda-t-elle à haute voix. Mais c'était peine perdue, son cri raisonna dans l’exiguïté de la pièce qui ressemblait à une salle d'observation. Shéhérazade regarda autour d'elle, l’œil vif et en alerte. Elle essaya de regarder à travers les stores de la fenêtre, mais ceux-ci ne se trouvaient pas de son côté. Il lui était donc impossible de les ouvrir davantage. Tout cela était insensé. La jeune femme commençait à avoir peur. Elle se retourna pour inspecter la pièce du regard. Celle-ci était quasiment vierge. Une lit, une table de chevet et une caméra. Shéhérazade s'approcha pour planter son regard sur l'objectif. Qu'est-ce que cela signifiait ? La sultane avait comme une impression de déjà-vu. Se faire enfermer était devenue une manie ses derniers temps. Que devait-elle faire ? Attendre sagement  ou trouver un moyen de sortir ? La jeune femme ne savait même pas de quoi il en retournait.

Shéhérazade tourna en rond durant un temps qu'elle ne put calculer. Elle s'assit sur le lit, appela plusieurs fois, essaya d'ouvrir la porte à dizaines de reprises, mais sans succès. Elle n'avait pas sur elle le nécessaire du parfait petit cambrioleur que Tara avait souvent utilisé par le passé. Son portable ne passait et elle pouvait bien essayer de briser la vitre avec son talon de chaussure, le soulier se casserait plus vite que le double vitrage. Plongée dans une profonde inquiétude, Shéhérazade se rongeait les sangs en pensant à son mari qui était probablement quelque part dans cet hôpital dans un état grave ou dans une position qui ne lui était pas favorable. La jeune femme n'était pas stupide, quoiqu'elle ne souhaitait céder à la paranoïa, cette pièce n'avait rien d'une simple salle de repos ou d'attente. Elle se questionnait sur sa présence en ces lieux. Lui voulait-on du mal ? Le mystère s'épaississait tandis que Shéhérazade réfléchissait davantage. Soudain, elle entendit à nouveau des pas résonner dans le couloir. Elle se retourna prestement pour se figer sur place. Après avoir déverrouiller la porte, la figure du Docteur Jacobs réapparut dans la pièce, l'air...changé. « Où est Sean ? » demanda immédiatement Shéhérazade d'un ton déterminée. Son regard croisa alors celui du docteur et la jeune femme vit une lueur étrange flamboyer dans l’œil du médecin. Elle ne savait pas ce que cela signifiait, mais elle pouvait pré-sentir qu'elle n'allait sortir tout de suite de cette pièce...  
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