Elsa est la reine des neiges, bien qu’elle évite de le crier trop fort. Elle est celle qui a plongé son monde, sa terre, dans un hiver infini, qui ne s’arrête jamais. Cette idée la hante, et quand elle y pense de trop, tout se gèle autour d’elle. Il parait que l’amour serait la solution à son problème, mais Elsa est trop renfermée sur elle-même, vivant de cette peur de ce qu’elle est capable de faire, de ce pouvoir qu’elle ne contrôle pas.

Et cette peur est enfuie, profondément, cachée, sous une mince couche de glace. Elle parait sûre, de l’extérieur et elle pétrifie facilement les moins audacieux. Elle a une prestance naturelle qui rappelle ce à quoi elle a toujours été destinée : contrôle le pays d’Arendelle. Elle souhaite tellement y retourner, cependant, tant qu’elle ne contrôle pas la magie qui est la sienne, il n’ose pas franchir l’un de ces portails.

Elsa est un être solitaire qui, plus que quiconque, souffre de cette solitude qu’elle s’est elle-même imposée. Certains y veraient un geste egoïste, alors qu’elle est bien loin de ce trait de caractère. Elsa s’inquiète, s’inquiète de trop, pour ceux qui l’entourent. Car elle a peur, toujours, inlassablement, de ce qu’elle pourrait faire aux personnes qui l’approchent de trop près.

Recherche : De tout, de rien. Principalement, des gens qui arriveraient à mettre Elsa en confiance. Même si ça risque d’être compliquée, elle est un animal apeuré, qui bien que si elle ne le montre pas, cherche à éviter les gens le plus possible. Dès qu’elle comprend qu’elle s’attache de trop à eux, elle a tendance à les repousser.
Des gens qui cherchent à profiter de sa faiblesse, de la rendre plus forte, pour servir leurs propres besoins. Elle n’est pas idiote, ce n’est pas une tâche facile. Mais si quelqu’un sait quoi lui apporter, il est possible de tirer parti d’elle.