ϟ nom : Le Chapelier Fou ϟ prénom : Jefferson ϟ date de naissance : 16 mai ϟ Âge : La trentaine d'apparence ϟ lieu de naissance : La Forêt enchanté ϟ lieu de résidence :Une petite maison dans la Forêt Enchanté, une cabane dans la Foret du Pays des Merveilles ϟ métier(s), occupations : Voyageur Inter-Royaume, Chapelier, Vendeur de Champignon et Père ϟ orientation sexuelle : Hétérosexuel ϟ statut social :Veuf ϟ groupe : Human ϟ rang : The Mad Hatter ϟ personnage [] inventé [X] tiré d'un conte/livre/jeu etc... ϟ son univers : Alice in the Wonderland


ϟ Quels sont vos signes particuliers ? Comment ne pas me reconnaître, un homme grand aux traits sveltes, finement dessinés, un visage totalement sympathique malgré un regard légèrement dérangé, une coupe de cheveux tantôt bien coiffée, tantôt ébouriffée, les joues et le menton qui pique d’une barbe d’un jour, une belle cicatrice faisant totalement le tour de mon cou, souvenir de ma décapitation. Sans compter un style vestimentaire légèrement décalé, portant souvent un foulard pour cacher ma cicatrice ainsi qu’un manteau long en queue de pie. Non ne pensez pas me voir avec un haute forme, ceci n’est qu’une histoire car le chapeau ne me sert pas pour me couvrir mais il me servait pour voyager.

ϟ Quelles sont vos principales habitudes/manies ? Des manies, je ne sais pas si je peux dire que ce sont des manies, celle de courir oui, toujours courir pour ma vie, j’avais aussi tendance à attirer le malheur sur moi et sur ceux qui m’entouraient, tout ce que je souhaitais et tout ce à quoi je pensais, c’était ma fille Grâce que je refusais de perdre comme j’ai perdu sa mère. Avant oui j’aimais l’aventure, voyager entre les mondes, travailler avec certains comme Victor et Rumpelstiltskin, mais j’avais tout lâché pour devenir ce vendeur de champignon, pauvre mais au moins présent pour mon univers, ma petite puce. Bon il est vrai qu’une fois que la Reine m’a arnaqué, je me suis retrouvé avec d’autres manies comme parler de thé et faire des chapeaux, des milliers de chapeaux en ne voulant qu’une chose, arriver à en faire fonctionner un. Oui qu’un chapeau fonctionne pour rejoindre mon enfant. Oui voilà une manie, une obsession, faire fonctionner ce maudit Chapeau, qu’il ouvre une nouvelle porte… Il me faut de la magie, oui de la magie pour qu’il tourne… Ah une dernière chose à dire… Je hais le Pays des Merveilles.

ϟ Quels sont vos qualités, vos défauts ? J’étais quelqu’un de charmant, sans aucun rapport avec le prince, mais j’étais à la base un bon vivant, quelqu’un qui aimait s’amuser et profiter de la vie, quelqu’un qui avait le courage en son cœur pour voyager au travers des différents Royaumes. J’étais quelqu’un qui savourait certaines richesses que je pouvais obtenir avec ces aventures. J’étais aussi un être patient qui était doué de ses mains pour créer, fabriquer. Mais ces aventures m’avaient rendu insouciant, ainsi j’ai perdu mon épouse, la mère de ma fille, retirant le plaisir à Grâce de grandir avec sa mère. Cette faute m’avait hanté, me poussant à abandonner, me changeant, j’en avais perdu le courage pour devenir quelqu’un de plus casanier, plus responsable, abandonnant l’extravagant pour une vie plus pauvre mais où je pouvais jouer avec ma fille, la voir rire et sourire. Oh je n’avais pas connu le True Love, mais ma fille était bien plus que cela à mes yeux, pour elle j’aurai été prêt à tout. Bien sur, une source de bonheur est aussi une source de tristesse car elle était aussi ce qui pouvait me faire le plus mal, le faite de ne pas pouvoir lui offrir tout ce qu’elle désirait était difficile, me poussant à nouveau vers une irresponsabilité. Je sais tout cela est un drôle de mélange, courageux sans vraiment l’être, joueur irresponsable voulant devenir quelqu’un de stable, passionné par les voyages devenu casanier par amour pour sa fille, j’étais quelqu’un de complexe, même si après tout cela j’étais devenu quelqu’un de fou… d’obsédé… de malsain…

ϟ De quel camp faites-vous partie ? Des camps, j’en avais servis des camps, un jour je travaillais avec ce Cher Rumpelstiltskin, un autre temps j’avais aussi travaillé pour la Méchante Reine Regina, tout comme j’avais travaillé en compagnie de Victor Frankenstein, et j’avais aussi travaillé pour Cora la Reine de Cœur, mais tout cela n’était qu’une vie presque identique à celle d’un mercenaire, je travaillais contre des services, contre une paye, mais je n’avais aucune conviction dans ces camps qui m’ont souvent manipulé, sans compter Cora qui m’avait carrément rendu esclave. Si je devais me définir un camp, le seul réel camp était celui qui comptait aux yeux de ma fille.

ϟ Quel(s) est/sont votre/vos ennemi(s) ? Vous savez… Non en faites vous ne pouvez pas comprendre, mais je vais vous expliquer… J’étais donc un voyageur, voyageur veut dire rencontrer beaucoup de mondes, beaucoup aussi de royaumes, et faire des erreurs, oh oui j’en avais fais des erreurs, que ce soit juste un mot de trop, un geste de travers. Des ennemis j’en avais plus que ma mémoire pouvait me le permettre, mais je crois pouvoir dire que mes deux pires ennemies étaient la Méchante Reine Régina qui m’avait trahit, m’éloignant de ma fille en m’abandonnant dans le Pays des Merveilles, et la Reine de Cœur Cora qui m’avait tranché la tête et enfermé pour que je lui fabrique un Chapeau pour voyager entre les mondes.

ϟ Avez-vous une quête à accomplir ? Oui je vous l’ai dis, une quête, fabriquer un chapeau qui fonctionne, un chapeau magique pour voyager entre les mondes. Mais c’était ma quête pour Cora, pour trouver la liberté car ma seule vraie quête c’est ma Grâce. Comment cela je suis obsédé par les mêmes idées ? Non mais je ne vous permet pas, je ne suis pas cinglé.

ϟ Avez-vous des objets dont vous ne vous séparez jamais ? Je garde toujours sur moi une vieille carte avec marqué dessus 10/6, ce qui représentait dix shillings et six pence, le prix d’un Chapeau. Avant j’avais aussi toujours mon chapeau que je n’abandonnais jamais.

ϟ Avez-vous déjà été confronté à la magie ? Bien trop souvent, que ce soit par mon chapeau magique qui me permettait de voyager entre les Royaumes, tout comme j’avais été confronté à la magie de Rumpelstiltskin, à l’étrange magie de Victor qui disait souvent qu’il n’était pas sorcier mais docteur, à la magie de la Méchante Reine, à la magie du Pays des Merveilles bien trop dangereux, comme celle de pouvoir vivre même décapité… La magie était dans certains mondes, absents dans d’autres mondes, mais la magie a toujours été dans ma vie, et la magie n’est que malheurs.

ϟ Quelle est la dernière chose que vous faisiez avant que le sort ne vous envoie dans notre monde ? Oh oui je me souviens, je me souvenais de tout, avant que la Malédiction s’abatte, j’étais enfermé dans le Pays des Merveilles, je fabriquais des Chapeaux, encore et encore, sans m’arrêter, perdant la raison. Je ne sais pas pourquoi le Sort Noir m’avait touché alors que j’étais loin de la Forêt Enchanté, je ne sais pas non plus pourquoi je n’avais pas oublié qui j’étais comme les autres. Je ne faisais rien d’autre que penser à Chapeau…

ϟ Un dernier mot ? Je hais le Pays des Merveilles... Quoi je l'ai déjà dis ? Je ne suis pas Cinglé... Cela aussi ? Et bien alors sachez une chose, la pire des malédictions n'est pas d'être enfermé dans un autre monde sans savoir qui on est, mais de l'être en sachant qui on est entouré de personnes qui ne vous reconnaissent plus.





ϟ nom : The Mad Hatter ϟ prénom : Jefferson ϟ date de naissance : Je n'en ai pas ici, vu que je me souviens de tout, que je n'ai pas eut le droit à une nouvelle identité ϟ Âge : toujours la trentaine ϟ lieu de naissance : Cela reste la forêt enchanté ϟ lieu de résidence : Un Beau grand Manoir se situant non loin de chez ma Grace nommée Paige ici. Au Nord de la Ville ϟ métier(s), occupations : Devenir fou en regardant ma fille dans une longue vie et chercher à fabriquer un chapeau qui fonctionne tout en devenant encore plus fou ϟ orientation sexuelle : Toujours Hétérosexuel ϟ statut social : et encore veuf

ϟ Quels sont vos nouveaux signes particuliers ? Je n’ai pas changé, certes ma tenue est un peu plus moderne mais reste totalement décalée. Mes cheveux sont moins ébouriffés qu’avant, et je semble bien plus instable, mais sinon je n’ai vraiment pas changé vu que je suis le même. Le même qui a vécu pendant 28 ans la même journée tout en m’en rendant compte…

ϟ Quelles sont vos nouvelles principales habitudes/manies ? Oh certaines manies n’ont pas changé, comme l’obsession sur mon Chapeau, qu’il fonctionne pour que je puisse prendre Grâce et repartir avec elle chez nous. Ma fille, une autre manie, parler d’elle, vouloir son bonheur, son bien, oui je veille sur elle, elle si précieuse. Bon certains vous diront que je suis un peu dérangé, mais c’est faux, je ne suis pas cinglé, non j’ai juste vu, j’ai vécu deux réalités en même temps car telle était ma malédiction, me souvenir alors que tous avaient oublié, me souvenir et voir ces deux vies, deux fois plus de souffrances, de peines… Mais même à Storybrook, je continue à me faire vilement manipuler.

ϟ Quels sont vos nouvelles qualités, vos nouveaux défauts ? J’ai perdu en courage encore, je pense… Je suis devenu un peu pragmatique sur les bords, d’ailleurs j’ai pointé une arme sur la sauveuse juste pour qu’elle crache de sa magie dans mon chapeau. Je peux dire aussi que j’ai perdu en stabilité, mais bon faut m’excuser mais à force de vivre une telle malédiction, c’est une torture qui ne peut pas laisser l’esprit intact.

ϟ À cause de la malédiction, les habitants de Storybrooke ont vécu la même journée pendant vingt-huit ans, jusqu'à l'arrivée d'Emma Swan. Décrivez-nous cette journée répétitive : Pendant 28 ans j’ai revécu la même journée, mais ce qui était difficile pour moi c’est qu’à l’inverse de tous les autres habitants de Storybrook, j’en avais conscience que c’était la même journée, je pouvais faire ce que je voulais comme libre, me souvenant de mon ancienne vie, alors que tous les autres revivaient la même chose en oubliant le jour précédent, oubliant quand ils me rencontraient. Il m’était du coup devenu totalement inutile de tenter de rentrer en contact avec quelqu’un car le lendemain il aurait oublié pour revivre cette même journée. 28 ans à voir le monde tourner en boucle, à revoir les mêmes évènements tout en sachant que je ne suis pas de ce monde, que je ne suis pas d’ici, en sachant que je suis Jefferson et à voir ma fille Grâce vive sous le nom de Paige avec une nouvelle famille, avec des personnes qu’elle considère comme son père et sa mère. Au début j’ai tenté de rentrer en contact avec elle pour qu’elle se souvienne, mais j’ai vu que rien ne restait en elle de notre passé, j’étais un inconnu chose tellement horrible à vivre. Alors finalement en ayant conscience de tout cela, je me suis mis à vivre les mêmes journées encore et encore en me renfermant chez moi dans mon Manoir, à ne plus entrer en contact avec personne, à ne plus sortir, ressentant une malédiction toute autre que les autres, une malédiction odieuse et bien cruelle. Est ce la Méchante Reine qui voulait se jouer de moi encore une fois ? Si elle pense que c’était un cadeau elle se trompe car c’était la pire des malédictions, se souvenir. Cette journée que je vivais en boucle de ma propre volonté était folle, une journée à fabriquer des chapeaux comme je faisais dans le Pays des Merveilles, fabriquer de nouveaux chapeaux en espérant trouver un peu de magie pour le faire fonctionné, d’ailleurs le mur de mon Manoir est comblé par le nombre de Chapeaux. Et chaque jour je regardais aussi ma fille Grâce par mon télescope, l’admirant rire avec sa nouvelle famille, la voir heureuse, comblée sans se souvenir de moi, une torture pour moi, une punition pour l’avoir laissé en accompagnant la Méchante Reine voler son père de la prison de la Reine de Cœur. Maudit, j’ai vécu ainsi, fabrication obsessionnelle, torture personnelle, espoir en vain, Thé et Thé en pensant aux jeux de dinette de ma fille… Jusqu’à ce que les jours redeviennent normaux, cessent de se répéter, l’arrivée de la sauveuse.


ϟ La nouvelle vie de ton personnage en quelques lignes : L’arrivé de la Sauveuse Emma Swan a été un choc pour moi, au début j’ai cru devenir fou car les journées ont cessées de se répéter, j’ai vu les changements en regardant ma fille par le télescope, elle ne faisait plus les mêmes choses avec sa nouvelle famille, cela changeait, en faite la vie avait reprit son cours. Pourtant au début moi, j’ai continué à vivre la même journée à construire des chapeaux, les déposer et les faire tourner, tourner, tourner en espérant y voir une porte y naitre. J’ai eut envie de retourner vers ma fille, oui bien sur mais je savais déjà qu’elle ne me reconnaitrait pas et je ne voulais pas qu’elle vive mon cauchemar, savoir, vivre deux réalités en même temps, vivre avec deux vies dans une seule tête. Surtout qu’elle avait une famille, une vraie famille complète, moi je n’avais rien à lui offrir alors j’ai continué à vivre mes journées répétées sans sortir de chez moi, m’acharnant en scrutant par mon télescope les évolutions de Storybrook. Ma vie n’avait pas changé et je me suis rendu compte que tout ceci n’était que folie, alors en jouant de voyeurisme sur Emma Swan, j’ai compris que elle avait de la magie, elle avait changé la Malédiction donc elle pouvait me libérer, nous libérer. Sans hésiter quand j’en ai eut l’occasion j’ai profité de la situation, elle semblait si proche de Blanche, enfin Marie Margaret, alors quand celle ci s’est retrouvée captive j’ai offert le moyen de la libérer pour la capturer ensuite, l’enfermer chez moi pour avoir un moyen de pression contre Emma Swan. Puis tout n’a été que facilité, tendre un piège à la dite Sauveuse, la pousser à presque me renverser sur la route pour la guider jusqu’à mon Manoir, l’empoisonner d’un Thé pour la retenir captive à son tour. Pour la première fois, l’homme que je suis a pris une arme, une arme usée contre cette femme pour qu’elle me fabrique un chapeau, pour qu’elle y mette de sa magie, mais cette femme m’a juste prise pour un fou, un cinglé qui se croyait être un personnage de conte de fée, mais je n’étais pas cinglé, non j’étais le seul lucide dans ce monde, le seul à connaître la vérité. Bien sur la pauvre Sauveuse a refusé de coopérer, me prenant par les sentiments quand j’ai parlé de ma fille, me parlant de sa mère pour me frapper et tenter de fuir. Oh mais on n’abat pas le Chapelier fou si facilement, non j’ai tenté de la retenir quand elle voulait libérer Marie Margaret, j’ai tenté et nous nous sommes battues, mais c’est Blanche qui m’a repoussé, m’a lancé au travers de la fenêtre de mon Manoir… Ce jour la, je m’en souviendrai car ce fut le premier où j’ai cessé de répéter ma journée, où j’ai décidé d’agir peu de temps avant que tous ne deviennent aussi lucide que moi. Vous voyez, je n’étais pas fou, je connaissais la vérité, j’étais le seul qui n’était pas devenu fou…