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Tout ce qui se passe au-delà de la saison 1 est à jeter aux oubliettes, merci Le temps passe mais n'avance pas (Shay) (-18) - Page 4 2742709183
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 Le temps passe mais n'avance pas (Shay) (-18)

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MessageSujet: Re: Le temps passe mais n'avance pas (Shay) (-18)   Le temps passe mais n'avance pas (Shay) (-18) - Page 4 EmptyLun 23 Mar - 10:30




Jafar & Shéhérazade
1Adorer la bestialité, hum c’est une information qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd, au moins je ne devrai point contenir ma nature avec elle, jouer le Vizir délicat et attentionné alors que je sais qu’en moi vis une bête sombre, un être qui n’a ni patience, ni romantisme dans ce genre de situation. C’est surement une chose que je trouvais lassante avec Amara, elle qui malgré son coté Sorcière pratiquant la magie noire restait une femme avec un esprit malgré tout plus « tendre ». En même temps, elle ne cherchait qu’une chose, sauver ses fils en étant prête à tout pour cela, mais elle restait toujours quelqu’un avec de bonnes intentions dans le fond, tout l’opposé de ma personne qui a évolué dans la magie non pour une finalité positive mais par soif de vengeance, par haine et rage. C’est surement la qu’était né notre désaccord, notre évolution était devenue trop différente, elle avait abattue mes frontières éthiques et j’étais devenu une chose qu’elle n’aurait pas accepté à la fin malgré tout ce qu’elle disait au sujet de ses sentiments, on aurait fini par se battre de toute façon, alors j’espère en moi que Shéhérazade laissera sa part sombre l’envahir, se mettre en harmonie avec ma personne car si elle espère pouvoir faire de moi quelqu’un de bon, de bien, elle risque juste de se heurter à un mur.

Mes doigts sur elle, si intimes, je constate son désir, son envie partagée ce qui me motive bien plus rendant mes caresses minutieuses de plus en plus entreprenantes, une pression de plus en plus présente. Ce jeu est déjà un plaisir qui me prend, comme la faire protester avant de voler ses lèvres avec cette part animale qui m’envahit, surtout au moment où je peux sentir la douceur de ses jambes si élégantes venir faire de moi son captif, aimant cette sensation d’être ainsi encerclé, ce contact que je prends comme un appel, tels des mots silencieux qui me demanderaient de lui en donner plus. Je la laisse s’occuper de ma dernière frontière, lâchant un petit râle de satisfaction quand elle me rend ainsi mes gestes en s’occupant de moi, augmentant l’envie déjà bien présente de ne faire qu’un avec son être. La passion m’envahit, les vagues de feu se répandent en mon être, mon consumant d’une envie charnelle. Je commence à devenir d’ailleurs de plus en plus impatient, lui mordant la lèvre lors de ce baiser, mes doigts abandonnant la partie plus intime et sensible de sa personne pour remonter sur son ventre, revenir flatter cette poitrine chaleureuse, soufflant d’envie en me détachant un peu d’elle pour lui offrir un regard de plus en plus affamé. « J’espère bien que ce ne sera point la seule chose que tu aimeras ma chère. » Dis je dans un murmure, un souffle dont l’intonation trahit tout le besoin charnel que j’ai en moi, qu’elle a provoqué par ses simples caresses, souffles et gémissements. Que personne n’ose tenter de nous interrompre en ce moment car il le regretterait chaque seconde qui lui restera de sa vie, en ce moment c’est juste un instant où elle et moi sommes découpés du monde, détaché du reste de cette ville pour être dans cette pièce uniquement, ce lieu qui s’imprègne de notre chaleur, de nos émotions, laissant une histoire se marquer sur chaque meubles et murs présents.

Je ne réfléchis pas comme elle, je ne pense pas au lendemain ni à la suite de notre relation, pour l’instant seul l’instant compte, mes mains venant agripper les siennes, les prendre pour les plaquer sur le canapé autour de son visage, un petit sourire à mes lèvres alors que mon corps s’amuse à flatter le sien, laissant ma virilité effleurer l’intimité de ma partenaire particulière, laissant nos corps parler, exprimer l’envie de cette futur union, du moment où ils ne feront qu’un pour mieux apprendre à se connaître. Mes mains glissent le long des ses bras alors que je continue à un peu onduler le bassin contre elle, me faufilant sur ses flancs, ses hanches, agrippant son bassin sans quitter son regard, l’admirant toujours d’un air aussi passionné que pervers avant de finalement, sans l’avertir, sans la prévenir, m’unir enfin à elle d’un mouvement de mon être, la rejoindre charnellement et plus intimement, me faisant soupirer d’un réel plaisir au moment de cette possession. Point réellement brusque, juste une passion dévorante qui prend la place qui me rend ainsi avec elle, je sais que je ne suis point un homme des plus délicats, et une fois ainsi uni je reprends ses lèvres avec appétit, un nouveau baiser accompagné des premiers mouvements en elle, une danse érotique.



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MessageSujet: Re: Le temps passe mais n'avance pas (Shay) (-18)   Le temps passe mais n'avance pas (Shay) (-18) - Page 4 EmptyLun 23 Mar - 20:20


Je me mords la lèvre lorsque ses caresses deviennent plus pressantes. Il s'amuse à me taquiner, je proteste et me met à rire, ce jeu m'amuse. Je me débarrasse de ce qui nous empêche d'assouvir notre désir. Un désir si ardent que je ne sais plus où donner de la tête. Ses caresses sur ma peau nue, ses baisers passionnés, je suis avide, si avide, que ma main sur sa nuque qui parcourt à présent son corps se fait plus pressante à certains endroits. Il me flatte ma poitrine, mordille ma lèvre alors que je caresse sa joue, nos regards se croisent et j'y trouve cette même lubricité, cette même envie dévorante, nous consumant tandis que je joue toujours avec son désir. Il plaque subitement mes mains autour de ma tête. Je suis frustrée de pouvoir ni le toucher, ni l'embrasser. Je fronce les sourcils alors qu'il sourit, satisfait. Mon corps s'agite sous le sien lorsqu'il joue à se frotter à moi. C'est insupportable. Il lâche alors mes mains pour les glisser le long de mon corps, tandis qu'il me fait languir un peu plus. Une fois libres, elles passent sur ses épaules et lorsqu'il s’immisce en moi par surprise, je retiens mon souffle et lui griffe les épaule malgré moi.

Je soupire avec lui, un soupire fébrile qui traduit mes émotions. J'avais l'impression d'avoir attendu ça depuis trop longtemps, un court laps de temps que le désir avait rendu interminable. Il reprend mes lèvres et j'y réponds avec gourmandise. Je le laisse se mouver en moins un moment avant que mon corps ne suive aussi sa danse. Je cesse de l'embrasser, glissant mes lèvres pulpeuses contre les siennes sur lesquelles je soupire à nouveau. Je garde les yeux fermés aux aguets d'un bien-être que j'attends, je m'imprègne de cette passion, de cette bestialité, de cette envie qui émane de lui. Je me cambre légèrement sous lui, me rendant ainsi un peu plus proche de lui et lui donner également plus de sensations, plus d'aisance. J'entame un chemin de baisers de ses lèvres à son cou que je finis par dévorer. Et lorsqu'il accélère la cadence, mon souffle se fait plus court, mes soupires plus fréquents, parfois, je laisse échapper des gémissements.

Je suis plus réceptive, plus sensible. Je me serais certainement sentie coupable quelques années auparavant, mais je changeais. Je pouvais même me demander si je trompais Schariar, mais pour moi il n'était plus mon époux, en le condamnant, mon geste était à prendre comme un divorce, il était certainement mort à l'heure qu'il est et s'il ne l'était pas, il le serait très bientôt grâce à mon alliance avec Jafar. Je savais qu'il avait une emprise sur moi, une première, je devais avouer. Effrayante, fascinante même, je me redécouvrais. « Jafar... » lui glissais-je à l'oreille, traduisant mon bien-être croissant. Je laissais un instant ma tête basculer en arrière un instant pour retourner à ses lèvres. Je ne suivais plus les mouvements de son corps, maintenant, nous étions parfaitement synchronisés, le poussant à aller plus loin. Je ne laissais plus de répit à notre baiser tandis que l'un de mes mains griffaient lentement son dos, l'autre trop occupée à s'accrocher à lui pour pouvoir suivre le mouvement.
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MessageSujet: Re: Le temps passe mais n'avance pas (Shay) (-18)   Le temps passe mais n'avance pas (Shay) (-18) - Page 4 EmptyMer 25 Mar - 16:48




Jafar & Shéhérazade
1La frustrer, la provoquer, jouer ainsi d’elle pour la rendre que plus désireuse de ce moment est un réel plaisir, sentant bien que cela a fait ton effet surtout au moment où elle griffe à notre union. Elle fait tout pour rendre d’ailleurs l’instant meilleur, tout pour faire vivre le feu de cette passion, que ce soit par ses souffles, ses baisers sur ma peau ou ses gémissements, elle éveille en moi un feu de plus en plus puissant, un feu intense qui se traduit par la passion, la bestialité dans mes mouvements de reins, laissant résonner en ce lieu non pas uniquement la douce mélodie de sa voix indiquant le plaisir, mais le chant de nos corps dansant, se percutant, se flattant dans une étreinte qui n’a rien de chaste. La chaleur qui émane d’elle se mêle à la mienne, nous nous découvrons pour une première fois et d’une façon bien intime, laissant se mettre une osmose dans la passion qui nous dévore, dans cette quête de plaisir partagé sans se soucier des conséquences ou des répercutions que cela pourrait avoir sur notre relation à venir, en cet instant seule cette envie charnelle, ce besoin ressentit, cet instant où nous ne faisons qu’un semble exister. Chaque petite parcelle de son être est comme un appel en cet instant, un appel à ce moment enivrant au point de presque vouloir bloquer le temps pour en profiter encore et encore, savourer cet échange, cette intimité, me sentant bien ainsi en elle à la posséder. Le feu du désir ne fait que parcourir mon être, me consumant chaque seconde alors que j’offre de plus en plus de fougue à ce que nous vivons. Murmurant mon nom ainsi à mon oreille, tel une flatterie, j’en deviens que plus emporté, me penchant sur elle pour mordiller son cou, remontant taquiner le lobe de son oreille, le flattant de ma langue alors qu’une de mes mains agrippe bien sa cuisse pour la plaquer contre moi, l’autre se plantant sur sa nuque pour l’agripper de plus belle, sentant sa douce poitrine caresser mon torse à chaque mouvement. Elle se mouvait avec moi, trouvant une plus belle harmonie dans ce langage corporel, provoquant qu’un bien être, un plaisir plus puissant à chaque seconde. J’aime son nouveau baiser, ses ongles me lacérant, j’aime son corps collé contre le mien, alors que notre petite partie n’est surement qu’à son début, une étreinte que je ne pourrai pas rompre avant d’attendre le moment d’apothéose, une étreinte qui se montre incessante, sans répit mais mes attaques ne sont rien de sombres, bien au contraire elles ne sont que la traduction de tout ce qu’elle provoque en moi, de ces éclairs me traversant à chaque contact avec son être. Je bouge en sorte d’être au mieux en elle, râlant mon plaisir contre ses lèvres que je prive ensuite des miennes pour la pousser à tenter de les capturer.

Quand j’étais arrivé à Storybrooke, je m’attendais bien à des complications, des surprises, des actions à entreprendre, mais je ne me serai surement pas attendu à croiser Shéhérazade et encore moins que cette rencontre tournerait ainsi dans une forme de sollicitation bien intime qu’elle ne devrait point avoir avec un ennemi qui a causé tant de tords aux siens. Je me demande un bref instant si c’est cette part sombre qui vit en elle qui est attirée par le danger, la menace que je peux représenter, une part sombre qui se libère dans un acte qui n’est point de l’image d’une grande sultane. La force de ce moment, ce coté plus animal et sauvage de notre ébat est bien loin de ce que pourrait décrire des contes de fées ou des histoires de romances, non ici notre échange fougueux ne concerne que nous, notre envie, notre plaisir, dévoilant ces parts de nous totalement effacées en publique. Point besoin de paroles en ce moment, nos actes parlent d’eux même, nos corps ont leur langage , celui du plaisir charnel, celui de la passion, j’en soupire d’ailleurs en la regardant, l’admirant dans cet instant, ralentissant notre danse, non point pour marquer une pause ni par fatigue, ralentissant un instant pour simplement revenir de plus belle, montrant une frénésie soudaine qui n’a d’égale que la beauté de cette partenaire bien particulière, de cette femme que je trouve bien plus agréable qu’à notre première rencontre, celle qui cède à celui qui était sa malédiction.



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