ღ Tell Me A Story...
Le Palais PeterhoffJe m'appelle Anastasia Nikolaeivna Romanov, je suis née le 18 juin d'une année lointaine au Palais Peterhoff et je suis la dernière fille du Tsar Nicolas II et de l'Impératrice Alexandra. J'ai pour titre complet Son Altesse Impériale la grande-duchesse Anastasia Nikolaïevna de Russie. J'ai grandie pendant 8 ans entourée de ma famille, de mes trois soeurs Olga, Tatiana et Maria et de mon petit frère, le futur Tsar Alexis. Mes soeurs, mon frère et moi, nous sommes éduqués par un précepteur suisse, un ami de mon père si je me souviens bien. Je me souviens que je partageais ma chambre avec ma soeur Maria et les membres de notre famille nous appelaient la paire toutes les deux car nous étions toujours ensembles. J'aimais ma vie, j'aimais mes soeurs, j'aimais mon frère, j'aimais ma famille et j'aimais vivre au Palais mais hélas, tout m'a été sauvagement enlevée dans la nuit du bal fêtant le trencentenaire du Règne de ma famille sur la Russie Impériale.
Le bal du Trencentenaire et la Malédiction des Romanov:Des robes, des lumières brillantes, des éclats de rires, voilà tout ce dont je me souviens du bal pour le trencentenaire du règne de ma famille sur la Russie. Et puis cette musique... Cette musique qui retentit encore dans mes souvenirs, cette douce mélodie qu'elle me chantait avant de me coucher. Oui cette mélodie qui m'a permis de la retrouver... Ma grand mère, l’impératrice douairière Marie, se rend au palais pour se joindre à la fête. Et ce soir là, ma grand mère me fait don d'une boîte à musique jouant ma berceuse favorite. Elle m'offre également un médaillon portant les mots Ensembles à Paris, ce même médaillon que j'ai porté autour de mon cou pendant plus de dix ans sans en connaître la provenance. Ayant priée ma grand mère de ne pas repartir en France, je me rends compte qu'elle veut m'emmener avec elle. La fête bat son plein mais tout bonheur est de courte durée car Raspoutine fait irruption dans la salle de bal. La cour l’avait pris pour un saint puis su qu’il était mage. Mon père le congédie en vain : il appelle la malédiction sur les Romanov et nous voue à l’éternelle condamnation. Ses invectives proférées, Raspoutine vend son âme pour qu’elles se réalisent. Quand l’ombre de la révolution envahit la Russie, on essaient de fuir alors que les révolutionnaires saccagent la ville et prennent le palais.
C'est dans la nuit du trencentenaire que les révolutionnaires prennent d'asseau le palais et tentant de fuir, je souhaite suivre mes frères et soeurs mais me rends compte que j'ai oublié ma boîte à musique dans ma chambre. C'est suivie de ma grand mère que je retourne sur mes pas pour chercher ma boîte à musique. Mais étant donné que le palais a été pris d'asseau, on ne peux pas retourner vers la sortie et le jeune serviteur Dimitri nous aide à nous enfuir par une porte dans le mur de ma chambre... Qui je crois était l'entrée des domestiques. On gagnent la cour pour nous soustraire, mais le mage nous surprend. Il se jette sur moi quand le sol se lézarde et qu’il se noie dans l’eau cachée sous la glace. Grand mère et moi, on essaient de monter à bord d’un tramway. La plus vieille y parvient, mais je me perd dans la foule et heurte ma tête au sol. Convaincue qu’elle ne me reverra plus, Marie sombre dans le chagrin ; le reste de ma famille est mort.
Enfance et Adolescence à l'Orphelinat:Je grandie de mes huit ans à mes dix huit ans dans un Orphelinat à quelques kilomètres de Saint Pétersbourg sous le pseudonyme d'Anya, ayant oublié ma véritable identité très certainement dû au choc que j'ai subi quand j'ai cogné ma tête sur le sol. Le lendemain de mes dix huit ans, Camarade Tuberculoff me renvoie de l'Orphelinat en m'annonçant qu'elle m'a trouvée du travail comme poissonnière. Mais elle le sait, moi ce que je veux, c'est aller à Paris, retrouver la personne qui m'a donné ce médaillon et mon instinct ne me trompant jamais, je décide de me rendre à Saint Pétersbourg où peut être je trouverais des réponses à mes questions. C'est en allant à la Gare que j'apprends qu'une rumeur court comme quoi la dernière fille du Tsar et de l'Impératrice aurait fuit lors de la Révolution en ignorant bien sûr qu'il s'agit en réalité de moi.
Ne pouvant quitter la Russie sans un billet, je me rends au Palais Peterhoff où d'après une vieille dame rencontrée à la Gare, je serais en mesure de rencontrer un dénommé Dimitri qui pourrait m'aider à aller à Paris. Tout ce que je sais, c'est qu'il a travaillé pour la famille Impériale quand il était petit mais jusqu'à ce moment là, j'ignorais que je lui devais la vie.
Rencontre de Dimitri et Vladimir:Sachant que ma grand-mère demeurée à Paris versera une large somme à quiconque me rammènera à elle, Dimitri et son ami Vladimir trament un plan. Ils veulent trouver quelqu’un qui me ressemble, convaincre l’impératrice qu’il s’agit de moi et percevoir la prime. Dimitri veut faire tourner ma grand mère en bourique en lui montrant la boîte qu’il a recueillie au palais. Mais bien sûr, moi j'ignore tout cela... Lorsque j'arrive dans le Palais, De vagues souvenirs m’envahissent quand je me trouve dans la salle de bal mais s’évaporent quand Dimitri m’apostrophe. Lui et Vladimir me convainquent d’aller à Paris sans dire qu’ils veulent se servir de moi. L’échange est suivi par la chauve-souris Bartok, ancien serviteur de Raspoutine. Il déniche le phylactère qui pourvoyait son maître en magie, et qui l’entraîne vers l’empire du mage recelé au tréfonds terrestre. Le scélérat voit que son sort a failli, et qu’il est prisonnier entre vie et mort. Pour y remédier, il me maudit et envoie ses démons me tuer.
Le voyage jusqu'à Paris:Durant le voyage, je frôle la mort à plusieurs reprises. Les autres et moi échappons de peu à un drame ferroviaire, puis Dimitri doit m’empêcher de sauter dans la mer quand Raspoutine m’ensorcelle. Ses échecs l’enragent à tel point qu’il résout de me tuer en personne. Lui et Bartok se rendent à Paris à leur tour. Là-bas, Marie et sa cousine Sophie examinent une jeune femme qui a dit être moi. Il s’avère qu’à l’instar des précédentes, la jeune femme a contrefait son identité, et Marie décide de ne plus recevoir aucune « Anastasia ». Dimitri et Vladimir m'instruisent afin que mon savoir de la vie de la grande-duchesse impressionne Sophie et me permette de voir Marie.
La question inattendue:Durant l’entretien avec Sophie, je répond correctement à une question imprévue, et Dimitri réalise que je suis bel et bien Anastasia. Je suis reçue à l’épreuve et informée du refus de Marie, mais Sophie ajoute que la souveraine ira voir un ballet et nous conseille de l’y joindre. Le ballet achevé, Dimitri essaie de convaincre Marie de me voir, mais elle refuse. Elle est au courant de ses efforts pour dépister une femme qui me ressemble. Je les écoute et quitte Dimitri. Il enlève Marie et lui montre la boîte pour la convaincre de me voir.
La vérité est dévoilée et l'Impératrice est retrouvée:Elle accepte malgré sa méfiance, et quand j'ouvre la boîte avec mon médaillon pour chanter la berceuse, elle comprend qu’elle m’a retrouvée. Ma mémoire se débloque : quand Marie étale des photos de famille, on se repaît des images riantes. Elle exprime à travers moi la tristesse qu'elle a ressentie lorsqu'elle m'a perdue quand je n'étais encore qu'une enfant et la joie qui l'anime de me retrouver aujourd'hui. Je ne remercierais jamais assez Dimitri de m'avoir permis de retrouver ma famille même si au début, ce n'était qu'un tissu de mensonges. Finalement, la légende finie par être véridique et je retrouve la mémoire.
La récompense & le grand amour:Ma grand mère s’engage à payer Dimitri, qui décline. Ayant reconnu le garçon qui l’a sauvée, elle comprend qu’aux yeux du jeune homme, mon salut vaut plus que n’importe quelle prime. Mais alors que Dimitri est partit, je monte dans les appartements de ma grand mère appeurée, un nuage violet menaçant se rapproche dangereusement de nous, j'entre donc et fait face à ma grand mère avant qu'elle aussi ne se rende compte du danger que ce nuage crée. Apparemment, elle sait qui en est l'origine et elle passe mon médaillon autour de mon cou avant de prendre ma main et que le nuage ne détruise tout avant de nous emmener dans un autre monde... Là où les fins heureuses n'existent pas.
Tout bonheur à une fin ~ Le Sort Noir de Regina:Je m'appelle Callisto Sacha Montgomery, j'ai 18 ans et je vis dans un immense studio en centre ville que mon père a acheté le jour de mon anniversaire. Je suis en terminale littéraire au lycée de Storybrooke et je suis également serveuse au Granny's le soir et le week end. J'ai une petite soeur de deux ans ma cadette que j'aime plus que tout au monde. Ma mère est morte l'année de mes quinze ans et mon père s'est remariée le lendemain de mes dix sept ans avec une femme que je déteste. Ma soeur et moi avons un lien particulier toutes les deux et dès qu'elle en a marre des parents, elle n'hésite pas à venir chez moi ou me retrouver au Granny's car elle sait que je n'hésiterais à m'occuper d'elle.
Tous les mercredis matins, je me rends à la bibliothèque pour prendre mes manuels scolaires et je ne cesse d'avoir l'impression d'avoir connue la vieille bibliothécaire ailleurs qu'ici. Enfin c'est peut être une simple coincidence. Sinon je suis célibataire et heureuse comme ça. Ma vie était banale mais je m'en moquais jusqu'au jour où Emma Swan fit son arrivée à Storybrooke et où les choses commencèrent à changer...