ღ Tell Me A Story...
Il était une fois, dans une contrée lointaine appelée la Grèce, une petite fille au nom d’Aristanae Delenikas. Il y a fort longtemps, elle était la fille du roi de ce pays. Vous pouvez penser qu’être princesse c’est fantastique ou bien sans problème… mais détrompez-vous, elle a eu son lot de problème. Alors commençons d’abord avec sa petite enfance…
«Aristanae viens ici ma chérie.»«Oui père?» «Laisse-moi te présenter Kostas, il est le fils du commandant donas. Tu te rappelles de lui?»«Mais oui bien sûr!» dit-elle sans grande conviction.
«J’aimerais que tu restes avec lui pour la journée. Il restera ici.»«D’accord.»On avait élevé Ari dans la classe, dans la politesse et elle faisait bien attention de respecter cette coutume. Elle exécutait toujours les ordres, elle n’était jamais en retard et surtout, elle ne contrariait jamais ses parents. Elle avait donc appris à observer. Elle observait les manies des gens, les gestes et les mimiques de ceux qui l’entouraient chaque jour. Et les dieux savent qu’ils sont nombreux dans sa vie. Depuis son jeune âge, reconnaitre les mensonges, les omissions et les gestes d’ouvertures ou de fermetures… Son père l’avait bien remarqué, mais sa mère la tenait bien loin des affaires politiques et militaires. Quant à son père, cela était à exploiter. Alors qu’un soir que la petite était parti marcher avec des gardes, elle se fit attaquer par l’un des siens. L’un deux avait trahi son père. Il avait bien failli la tuer… Elle était blessée gravement à la colonne vertébrale et elle avait beaucoup de mal à respirer le sang dans ses poumons. Ses gardes étaient tous inconscients, incapables de l’aider ou de la sauver. Elle mourrait seule dans cette forêt emménagée pour elle. Après cela elle ne se souvenait pas de grand-chose. Seulement à son réveil, elle était complètement guérit et devant un jeune homme blond de son âge. Elle avait reculé sur ses mains.
«Mais qui êtes-vous? Est-ce que je suis…M…?»«Tu es toujours dans ta forêt. Je m’appelle X… et toi comment t’appelles-tu?»«Aristanae… est-ce que c’est toi qui?»«Um… je crois bien oui.» «Merci!» Dit-elle pleine de gratitude.
Elle n’était qu’une jeune adolescente… dans les débuts de ses 12 ans. Elle n’avait jamais réellement rencontré d’autres garçons de son âge à part Kostas… Elle avait entendu dire son père qu’il était celui qu’elle devrait épouser, lorsqu’il en déciderait ainsi. Alors quand elle s’était retrouvée devant ce jeune garçon, elle était intriguée, était-il au courant de qui elle était réellement? Ou… allait-il être à ses pieds comme l’autre? Il l’a raccompagna pour s’assurer qu’il ne lui arriverait rien et ils ne se revirent plus jamais…
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Enfin… Jusqu’à ce que la jeune fille devenue femme le retrouvent sur le champ de bataille. Maintenant qu’elle était majeure et bien qu’habituellement elle serait déjà mariée… son père voulait la voir en action avant de prendre sa décision finale. Il avait donc amené Ari avec lui lors de la guerre. Elle était sortie de sa tente pour s’éloigner de tout ça, elle ne supportait pas voir des gens mourir. Elle disait qu’elle était là comme arme secrète de son père pour découvrir des alliances trompeuse… Il l’utilisait… Mais elle l’aimait quand même. Alors, comme je disais, Ari était sorti de sa tente pour marcher, s’éloigner, respirer sans l’odeur du feu ou des corps. Elle trébucha et tomba sur quelqu’un.
«Um… pardon! Je…» Elle s’était relevée d’un bon en voyant le blason qu’il arborait.
Elle s’était retournée pour se mettre à courir. S’enfuir de celui qui arborait le blason ennemi. Quand celui-ci lui adressa la parole.
«Ari? Je ne te ferai pas de mal, c’est promis. C’est moi X. Tu te souviens que je t’ai sauvé une fois?»La jeune indépendante s’était arrêtée et s’était mise face à lui tendant une main vers sa joue. Elle avait reconnu les yeux du jeune garçon qui l’avait raccompagné ce soir-là quand elle était blessée. Elle le regarda intensément, passionnément tout en lui souriant.
«Pourquoi as-tu ce blason sur toi? Tu es parmi eux? Parmi ceux que mon père tente de combattre?»«Ari… Ils m’ont adopté, ils sont comme mes parents… Je ne peux pas les laisser seuls…»«Je comprends et je ferais la même chose avec mon père.»Il s’avança vers elle encore jusqu’à ce que la distance ne soit plus visible. Il l’embrassa passionnément tout en gardant un côté tendre. Elle savait qu’elle n’aimerait personne d’autre, même pas ce Kostas qu’elle connaissait depuis sa petite enfance. Mais cette amour serait difficile, interdit, prohibé par sa famille. Comment le maintenir en vie, quand son père veut sa peau? Saura-t-elle le garder en vie?