Qui est cet habitant ?
Faire une introduction rédigée de votre personnage (s'il est à Storybrooke, remplissez selon sa nouvelle vie. Vous pouvez inventer des informations puisqu'elles ne sont pas réelles) en incluant les éléments suivants :
Nom, prénom, second prénom (facultatif), date de naissance, lieu de naissance, orientation sexuelle, trois principales qualités, trois principaux défauts, groupe, rang et si votre personnage est un personnage actuel ou un personnage de flash-back (voir le règlement).
Mais qui est-il, réellement ?
ATTENTION, POSSIBLES SPOILERS
Partie I: La Fille du Meunier
Tout a commencé il y a fort longtemps, un jour comme un autre alors que je descendais la colline, revenant du moulin pour retourner chez moi, près de la Forêt Enchanté. Père devait déjà avoir livré la cargaison importante de farine, le roi nous avait commandé toute une charrette remplit de sac... Malheureusement, en revenant chez moi, je retrouvais mon père, endormi au sol. Je poussais plusieurs cris d'indignation en réveillant mon père, laissant exprimer ma rage. J'étais fatigué de devoir tout faire et vivre dans la pauvreté, j'aurais donné tellement de chose pour vivre dans ces palais aux tourelles et tapis qui s'étendaient à perte de vues dans les couloirs.
Arrivant dans le palais du Roi, je me dirigeais directement vers les cuisines afin de remettre les sacs et toucher mon argent auprès de la main du roi. Je me rappel alors, très clairement de ce jour là, où je me suis sentit perdre le contrôle et tomber au sol, faisant tomber plusieurs sacs de farine.
Le Roi : Que c'est il passé ?
Princesse Éva : La paysanne a trébuché. Cela leur arrive souvent.
Le Roi : Vous n'êtes pas blessée ?
Moi : Non je vais bien !
Le Roi : Je ne m'adresses pas à toi ! Eva, vous n'avez rien ?
Princesse Éva : Elle a abîmer mes nouvelles chaussures...
Prince Henry : Elle ne l'a sans doute pas fait intentionnellement.
Le Roi : Elle ne sera pas payée pour ses sacs de farines, et tu présenteras tes excuses à la princesse Éva.
Moi : Mes excuses... C'est elle qui m'a fait un croche-pied !
Le Roi : Veux tu bien te taire ! Cette demoiselle est la princesse Éva, venue du royaume du Nord, sa visite est un honneur. C'est une dame illustre et distinguée.
Je regardais la dîtes Princesse avec dédain.
Moi : Ce n'est qu'une enfant...
Le Roi : Et toi pour qui te prend tu fille de meunier ? Comment t’appelles tu ?
Moi :... Cora.
Le Roi : Alors agenouille toi Cora.
Hésitante un court instant, je finis néanmoins par me mettre à genoux, dans la farine face à cette gamine.
Le Roi : Et demandes lui pardon.
Je relevais légèrement le menton, presque hautaine.
Le Roi : Implores son pardon ou nous n’achèterons plus jamais le moindre sac de farine à ton père. Il y a d'autres meuniers dans le royaume.
Le roi était notre unique client, briser un contrat avec lui revenait à nous laissait mourir. Serrant la mâchoire, je regarda les traits fins de cette peste.
Moi : J'implore votre pardon. Princesse, Éva.
Cette dernière afficha alors un sourire pleins de triomphe, j'aurais tellement voulu la faire souffrir en cet instant.
Le Roi : Restes à genoux jusqu'à ce que nous soyons partit. C'est la place qui te revient. Allez, venez ma chère...
Je les regarda donc partir, le roi et cette garce, son fils et la garde royale, à genoux au regard de tous avec une profonde rage pour toute cette noblesse.
Le même soir, le Roi organisait un bal masqué en l'honneur de son fils, et choisir l'épouse du prince Henry.
Je rêvais tellement de pouvoir frôler les costumes paré d'or et de joyaux chatoyants, marchant la tête haute parmi ces personnes. Et par chance, j'avais réussi à mettre la main sur une robe à bustier d'un noir nuit et d'un rouge sanglant, sans oublier le plus important : mon masque pour camoufler mon identité décoré de plumes des mêmes couleurs. J'avais fais mettre ma robe dans l'étable et à la nuit tombée je m'infiltra dans le château où, grâce à mon costume
Entrant dans la salle de bal, sans gêne d'être inconnue dans ma robe et sous mon masque, je me moqua ouvertement du roi et son fils auprès d'un inconnu. Avant de me rendre compte que cet homme n'était autre que ce fameux fils du roi. J'étais gênée, mais non loin de là désolée, néanmoins je m'excusa, je ne voulais pas être mise à mort. Et ces gens là ne veulent que ça : des excuses, des courbettes... Ce genre de choses qui le font se sentir supérieur.
Mais avec une grande surprise, il m'invita à danser et j’eus le privilège d’échanger quelques mots avec cet homme tant convoité des filles du royaume. Avant que ce vieux Roi ne débarque, aussi rapidement que le prince m'avait emmenée sur la piste de danse. J'espérais rester discrète, mais c'était raté : le roi m'avais démasquée. Comment ? La paille sur le bas de ma robe. A ce moment là je maudis plus que jamais mon père et la vie qu'il m'avait donné. Je le détestais autant que toutes ces grandes personnes.
Il n'arrêtait pas de dénigrer, me rabaissant plus que jamais et exprima son manque d'or. Je n'avais alors pas hésité une seconde à mentir pour m'élever, pour une fois, au dessus de sa personne en clamant que j'avais le pouvoir de changer la paille en or...
Voilà où j'en étais, enfermé dans un tour en devant transformer une salle de paille entière en or. Le lendemain j'allais être exécutée pour avoir menti au Roi. Quel vie incroyable ! Pauvre, paysanne, fille de meunier et exécutée en publique. J'ai souhaité si fort de pouvoir sortir, me venger que j'avais l'impression que j'allais explosé, tellement submergée par la haine. Et puis, je l'ai entendu derrière moi, cet homme à la voix espiègle et à la peau semblable à celle d'un crapaud. Je découvris alors que cette chose était doué de pouvoirs qui dépassaient ceux du roi. Et il me demandait mon aide, à moi une paysanne. Ce qu'il voulait ? Mon tout premier enfant. Une fille qui plus est, elle avait apparemment un rôle important à jouer pour lui. Je n'ai pas hésité, après tout je ne la connaîtrais pas, ce sera une chose inconnue qui grandira dans mon ventre et qui me permettra en échange d'assurer ma vie jusqu'à ma mort, mais aussi d'avoir ma revanche sur le Roi.
Alors il m'apprit, m'expliquant que je devais laisser couler ma haine en moi afin de pouvoir changer cette vulgaire paille en or. Je voulais les obliger à se mettre à genoux, que leur rotule en soient meurtrit, qu'ils tremblent de froid sur le sol glaciale, je voulais les voir se courber jusqu'à ce que l'échine de leurs dos se brise... C'est alors que la paille qui passait ente mes mains se transforma en un fil d'or...
Le lendemain, je savais utiliser ce don et je le montra au Roi et sa cours, alors le Prince s'agenouilla, et me fit sa demande devant chaque grandes personnes. J'avais réussi, j'allais devenir reine, j'allais obtenir tous ce dont j'avais toujours rêvée.
Le jour de mon mariage, alors que je préparais il revint, je le trouvais différent de la première fois, il était beau, je le trouvais attirant. On changea notre contrat, j'allais passer ma vie avec lui et je lui donnerais un enfant, un enfant qu'il me retirera, mais qu'importe : je l'aimais. Mais il restait une chose, le Roi, je devais me venger. Alors il m'apprit quelque chose de noire et de sombre afin que je puisse me venger du Roi : arracher, à main nue un cœur afin que je puisse le réduire en poussière entre mes doigts, sous ses yeux.
Le soir même je me rendis au quartier du roi, et je découvris avec effroi, qu'il savait pour moi et Rumpelstiltskin...
Le Roi : T'enfuir aux bras de cet être malfaisant dont tu crois que j'ignore l'existence, au nom de l'amour. Ou rester aux côtés de mon fils avec une couronne sur la tête, et des sujets à tes pieds ?
Il savait donc, mais le fait que je n'aimais pas son fils ne le dérangeait pas, mon mariage avec lui n'était qu'une alliance afin de rétablir la richesse du royaume et en ce moment, le Roi se fichait de savoir que je parte ou que je reste, sa fortune étant revenue.
Il me montrait alors mes deux choix : vivre dans la noirceur et l'exclusion avec Rumpel mais en vivant l'amour, ou ne partageant pas d'amour mais vivre dans la richesse... Hors, si j'arrachai mon propre cœur, je ne ressentirais pas de sentiments et d'émotions, vivre donc avec le prince Henry ne me gênerait pas, je n'aurais pas à souffrir du manque de l'homme de ma vie.
Moi : S'il faut choisir entre amour et pouvoir... Avoir un cœur est déjà une faiblesse, ne croyez vous pas ?
Alors, j’arrachais mon propre cœur, afin de ne pas souffrir du manque de Rumpelstiltskin...
Rumpelstiltskin : A qui est le cœur dans la boîte ?
Moi : C'est déjà bien assez difficile sans...
Rumpelstiltskin : Tu a mentis. A qui est ce cœur ?
Moi :... A moi. Il le fallait ! Tu l'as dit toi même, rien ne doit m'arrêter ni les empêcher de les mettre à genoux. Mon cœur risquait de m'en empêcher.
Rumpelstiltskin : Tu ne m'a jamais aimé. Mais tu ne t'en tiras pas aussi bon compte très chère. Tu a signé un contrat, je prendrais ton bébé.
Moi : Tu a changé les termes du contrat que tu m'a fais signer. Tu ne peux m'enlever que ton propre bébé. Et si un jour je met un enfant au monde... ça ne sera pas le tiens.
Je vis sa peine dans son regard, pourtant je n’éprouvais aucune compassion...
Plusieurs mois plus tard, je mis alors au monde mon enfant, une fille, avec la ferme intention de faire d'elle une reine, qu'elle n'endure pas la vie de misère que j'avais enduré durant tant d'années. Son nom était Regina, et un jour elle sera Reine.
Partie II: Le Complot
Bien des années plus tard, alors que ma fille grandissait, je me rendais compte avec effroi qu'elle n'était pas prête à être Reine. Elle ne s'intéressait point à ses prétendants et vivait comme un garçon manqué. Le seul qu'elle aimait était ce vulgaire garçon d'écurie, mais je m’efforçais à fermer les yeux, espérant qu'elle recouvre la raison. Mais ce n'était pas la seule mauvaise nouvelle : j'appris alors que la Princesse Éva, devenue Reine avait une enfant, bien plus impliquée dans la vie du royaume que ma fille et qui était en tête pour devenir Reine à la mort d’Éva. Elle était pure, cette douce Blanche Neige était le bien incarnée, je devais corrompre son âme, la tâchée de ma propre noirceur. Alors, il me fut simple d’empoissonner mortellement la Reine. Je savais ensuite que cette princesse cherchera à la sauvée et qu'elle ira demander conseille à la Fée Bleue. J’espionnai cette fillette, revêtissent l'apparence de la conseillère de sa majesté et fit en sorte qu'elle ne parle jamais de cette rencontre, elle ne devait pas savoir qu'elle parlait à une sorcière diabolique. Je lui proposa un moyen de sauver sa mère : une vie contre la survie de sa majesté. Une méthode qui par la même occasion que sauver une vie, corrompe un cœur pur. Mais elle était bien plus bonne que je ne l'avais imaginé et refusa... Au moins j'avais vue cette garce mourir, je n'avais pas tous perdu. Je m'étais d'ailleurs rendu sur son corps pour contempler son cadavre, me rendant alors compte de ma revanche et en prenant un malin plaisir... Mais mon plan pour faire de ma fille une Reine n'était pas terminé.
Le Roi Léopold maintenant dans le déni et un deuil des plus profond, je devais trouver un moyen de le faire tomber amoureux de ma fille, lui faire avoir d'yeux que pour elle. Alors, un jour que sa fille se promenait dans la contrée, je libéra ma fille de son après midi, faisant en sorte qu'elle se trouve au même endroit au même moment que Blanche. Et alors, j’emballai le cheval de cette gamine. Connaissant la bonté de ma fille, elle sauva évidemment cette fille. Quel était le meilleur moyen de propulser ma fille au sommet de l'estime du Roi que de sauver sa fille chérie ? Alors il ne remarqua que ma fille et finit par la demander en mariage pour sa bonté...
Je poussa ma fille à accepter. J'avais enfin gagné, ma fille allait devenir Reine, je n'aurais qu'à me débarrasser ensuite du Roi et de sa fille chérie pour ne laissait que fille et elle seule sur le trône.
Alors que les préparatifs du mariage avançait à grand pas, je reçus la visite de cette gamine, tourmentée par quelque chose et avec ma persuasion et en utilisant les bons mots, je finis par la manipuler et la faire parler : Elle avait suivit ma fille et ce Daniel et comptait disparaître avec lui. Il ne m'en avait alors pas fallut plus pour me rendre à la grange et les stoppait, arrachant le cœur de cet homme, faisant comprendre qu'une enfant avait trahi Regina et fit alors germer une pointe de haine dans son cœur...
Le jour du mariage arriva et ma fille reçu un cadeau prestigieux : un miroir, au contours doré et au reflet lisse et parfait. C'est là qu'elle se rebella et avec effroi je découvris que ma fille avait de la magie en elle et me propulsa dans ce miroir, m'envoyant alors dans un autre monde. Je savais qu'elle n'avait pas put faire cela toute seule, alors j'ai compris : Rumpelstiltskin avait eu sa revanche et pouvait mettre la main sur ma fille, dont il avait tant besoin.
Partie III: La Reine de Cœurs
Le Pays des Merveilles, comme c'est original. Mais ça avait du bien au moins, j'ai sut m'imposer comme la Reine de ce pays, à présent plusieurs noms de décrivaient mais en particuliers la Reine des Cœurs et la Dame en Rouge.
Un jour, j'ai reçu la visite d'un intrus dont j'ignorais la façon dont il était arrivé dans mon Royaume. Mais j'avais une incroyable envie de savoir, je désirais plus que tout me venger de ma fille, elle avait beau être ma chair et mon sang, j'étais incapable de ressentir la moindre peine pour cette peste qui m'avait renvoyée, alors que je voulais simplement une vie aisée pour elle...
Quoi qu'il en soit ce pirate, ce cher Killian Jones pensait pouvoir me tuer sur ordre de ma fille, malheureusement pour lui je n'avais plus de cœur... J'étais invulnérable. J'ai alors proposée un pacte avec lui, je simulerais ma mort afin de rejoindre l'autre côté du miroir.
J'étais allongé, je sentais la pierre froide contre ma peau dans ce cercueil. Ma fille se tenait au dessus de moi et me regardait d'un regard compatissant. Alors je découvris que si ma mère voulait tant ma mort, c'était dans le but de ne plus avoir de faiblesse. Elle savait, tous comme moi qu’affin de réussir, il ne fallait pas avoir de faiblesses. Et j'étais sa faiblesse. Alors j'ai continué de simuler ma mort et sentant le sort noir approché, un sort écrit de la main de Rumpelstiltskin, une malédiction qui enverra chaque habitants dans un monde où la magie sera inexistante, où elle régnera en maîtresse et n'aura pas besoin de moi. Je devrais aller vers ma fille quand elle sera brisé et aura besoin de moi.
28 longues années à patienter après que j'ai protégé une partie du royaume, et un jour j'ai sentis arriver Blanche et sa tendre fille, aussi insupportable qu’Éva. Mais grâce à elles, j'ai compris que le moment où Regina aurait besoin de moi approchait. J'ai réussi à les utiliser à ma guise et dans plusieurs longues semaines, j'ai enfin trouver un chemin vers Storybrooke, ma fille allait me retrouver.
Les choses ne se sont malheureusement pas déroulées comme je l'avais espérée: j'ai réussi à gagner la confiance de Regina et j'avais pour but de voler les pouvoirs du Ténébreux en lui donnant un coup fatal, sa dague étant en notre possession. J'ai finalement perdu le combat mais ce dernier m'a laissé la vie sauve, m'exilant néanmoins dans un monde que je connais bien: le Pays Merveilles. Mon royaume qui a complètement sombré dans l'oubli suite à mon absence, le laissant sans règles. Je compte bien regagner le titre que j'avais en rappelant aux habitants de ce monde qui est la Reine, qu'elle qu'en soit les manières. Mais ce n'est pas tout: j'ai fais la connaissance du Lapin Blanc, une créature magique ayant la capacité d'ouvrir des portails entre les mondes... J'ai réussi à arracher le cœur de la bête afin de garder un moyen de pression sur lui: en échange de sa vie, il s’exécute quand je lui ordonne d'ouvrir un portail. Ainsi, j'ai toujours un lien avec Storybrooke... Mais ça, personne ne le sait...