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Tout ce qui se passe au-delà de la saison 1 est à jeter aux oubliettes, merci Mara Cadwell ; L'ignorance du péché 2742709183
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 Mara Cadwell ; L'ignorance du péché

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MessageSujet: Mara Cadwell ; L'ignorance du péché   Mara Cadwell ; L'ignorance du péché EmptySam 23 Mar - 15:26




INTRODUCTION
Qui se cache derrière l'écran ?
© COPYRIGHT GIF


Jamie est mon berger, je ne fais que suivre le chemin qu'il a ouvert vers le 5ème compte!
Et cette fois, j'ai opté pour Natalie Portman.




Mara Cadwell
Feat Natalie Portman




Qui est cet habitant ?

La plupart des gens la connaissent comme le Dr. Cadwell. Mais une grande partie de la ville l’appelle simplement Mara. D’une joie de vivre contagieuse et d’une éternelle dévotion, la jeune chirurgienne est l’une des âmes charitables de Storybrooke. Si elle peut compter ses amis sur les doigts d’une main, Mara bénéficie d’une cote de popularité assez impressionnante parmi les habitants de cette petite ville du Maine. Malgré son emploi prenant et fatiguant, la brune ne manque jamais d’un mot gentil pour ses voisins lorsqu’elle les croise en allant travailler, ni pour les commerçants avec lesquels elle aime discuter longuement. En dehors de son doux caractère, Mara est une femme de 27 ans plutôt ordinaire. Son quotidien est bien réglé, même s’il a subi quelques changements après l’arrivée en ville d’un nouveau visage. En effet, peu de temps après les premières foulées d’Emma sur le sol de Storybrooke, Mara a quitté son petit-ami, avec lequel elle avait finalement l’impression de s’ennuyer et de ne pas avancer. Si elle s’en était toujours bien accommodée jusque-là, l’amour des premiers mois s’était dissipé et après un an de vie commune, il lui avait semblé évident que leur histoire arrivait à son terme. Ils se sont quittés dans de bonnes conditions, et restent amis malgré tout. Mais délaissant l’appartement de son ex, il lui a fallu trouver un nouveau logement. La proposition que lui fit Emily, infirmière et collègue de travail, fut naturelle et impossible à décliner. Les deux femmes se sont toujours bien entendues, et Mara ne doutait pas que leur collocation soit un véritable feu d’artifice. Elles ont en effet l’une sur l’autre la meilleure influence. Mara ne supporte pas les situations conflictuelles, elle doit toujours chercher à désamorcer les conflits, aussi est-ce tout naturellement qu’elle exhorte sa colocataire à davantage de patience concernant le « cas Desmund ». L’homme en question est loin d’être un enfant de cœur, traitant les femmes comme des objets consommables et jetables, mais Mara aime creuser au-delà des apparences et des idées reçues. Pour elle, le bien est en chaque personne. Elle ne peut pas croire que quiconque soit foncièrement mauvais et, là encore, elle utilise la théorie du déterminisme pour trouver des circonstances atténuantes à ceux qui font de mauvaises choses. Ce doit être son esprit logique de scientifique qui veut cela, mais Mara tente toujours de remonter à l’origine d’un problème. Elle n’hésite d’ailleurs pas à consacrer une partie de son temps libre à toutes sortes de recherches, se formant une culture vaste, et aiguisant son esprit critique. Car sa générosité et sa bonté d’âme n’empêche pas Mara d’être une critique acerbe. Elle ne met cependant jamais son sens critique à profit pour enfoncer quiconque, cherchant au contraire à tirer le meilleur de ce que ses critiques lui permettent de déceler.


Mais qui est-il, réellement ?

ATTENTION, POSSIBLES SPOILERS

Avec le printemps et la renaissance de toute chose naquit Modestie. Ses parents choisirent ce nom en espérant qu’il la guiderait vers cet idéal, et ils ne furent pas déçus par leur unique enfant. Très vite, la demoiselle développa toutes les qualités auxquelles pouvait aspirer une fille de seigneur. Douce, bienveillante, et empathique, Modestie était la fraicheur incarnée. Ses lèvres ressemblaient à un bouton de rose, ses yeux à deux opales, et sa peau représentait l’habile mariage du satin et de la soie. Elle avait toutes les qualités physiques et mentales qu’une princesse du monde des contes pouvait rêver de posséder. Et cela tombait bien car, son père étant le frère cadet du Roi Léopold, elle portait tout naturellement le titre de princesse royale.

La vie de Modestie était toute tracée devant elle, et elle n’entendait pas s’en plaindre. La société qui l’avait vu naître avait tôt fait d’imprégner sa conscience des carcans traditionnels, ne donnant aucun rêve d’émancipation à la demoiselle promise, bien avant sa naissance, à un avenir scintillant. Elle grandit dans un univers fait de bals magnifiques et de titres ronflants, mais ne perdit jamais de vue le peuple à ses pieds. Son innocence n’avait d’égal que sa compassion. Dès qu’elle le pouvait, elle se mêlait à son peuple et gonflait son cœur d’une volonté de fer. La première fois qu’elle se rendit dans la bourgade qui bordait la forêt domaniale, elle manqua à toute prudence et failli se faire assassiner par un homme auquel la famine avait pris ses trois enfants. Elle lui échappa de justesse, par la grâce de sa générosité et de sa bienveillance. L’homme prit même place au château, son père n’osant pas remettre en cause la première décision exemplaire de son enfant bien aimée. Le pauvre bougre, nommé Ancelme, devint son premier homme de main, le plus farouche de ses protecteurs, et plus personne n’osa jamais lever la main sur elle lors de ses excursions. Modestie gagna très vite la faveur du peuple, et ne lésina pas sur les efforts dont elle le gratifia, tendant toujours à rendre son quotidien plus supportable. Parallèlement, le seigneur en profita pour augmenter les charges, l’état des caisses n’allant pas en s’améliorant. Modestie devint, bien malgré elle, le soupçon de douceur qui permit à son père de prendre des mesures de plus en plus draconiennes.

Et un beau jour, il fallut songer à la marier. Les prétendants se multiplièrent sans mal, le seigneur n’ayant que l’embarras du choix. Mais sa fille, aussi respectueuse soit-elle des traditions, ne pouvait se marier que par amour, et il n’eut pas le cœur à lui imposer quiconque, acceptant dès son seizième anniversaire qu’elle prenne le temps de trouver son véritable amour. Les années passèrent, et un jour, un gentilhomme plus persévérant que les autres se présenta aux portes du château. Modestie se méfia de ses belles paroles, ne se laissant attendrir que dans la limite du raisonnable, l’empêchant d’obtenir la seule chose qu’il désirait vraiment.

A l’aube de sa vingt-et-unième année, Modestie fut mise en demeure de trouver un époux. Son père n’allait pas en rajeunissant, et elle était son unique héritière. Il n’oubliait pas l’existence du jumeau qu’il avait abandonné entre les mains d’un sorcier, mais ça n’avait été que le prix à payer pour s’assurer une existence heureuse, et permettre à l’enfant restant d’avoir toutes les qualités requises pour être un jour une Reine exemplaire. S’il avait abandonné le jumeau mâle, c’était pour ne pas attirer l’attention de son frère, le Roi, qui peinait à obtenir un héritier et ne pourrait voir que d’un mauvais œil le fils de son cadet. Le brave seigneur se berçait ainsi d’illusions, estimant avoir sauvé son fils en l’abandonnant entre des mains malveillantes. Et ses espoirs restaient saufs, il entendait faire de Modestie la future souveraine. A condition, bien évidemment, de lui trouver le meilleur des partis.

A l’issu d’un bal sans précédent, Modestie se choisit un fiancé, et ils se marièrent dans le faste et la liesse générale. Un seul détracteur semblait s’opposer à cette union. Durant plus de deux ans, un ancien prétendant nommé Rhett fit tout pour gâcher le bonheur de ce couple parfait. Ne pouvant briser leur union que dans la mort, il mit fin aux jours de l’époux de Modestie, resserrant son étau sur elle. Mais la princesse ne baissa jamais les bras. Même dans les pires moments, elle tenta de ramener son ennemi à la raison, cherchant à comprendre les raisons qui l’animaient pour la torturer ainsi, et entreprendre de couper peu à peu tous ses liens avec le monde. Parce que sa vie était de plus en plus menacée, Modestie dû fuir le château et elle s’installa dans une maisonnée au plus profond de la forêt enchantée, où Rhett ne pourrait plus l’atteindre.

Mais il finit par la retrouver, attirant à sa suite une sorcière destructrice, qui répandait le chaos et la mort sur son passage. Dans un ultime espoir de rédemption, Modestie s’unit à son ennemi pour le protéger de la magie de la harpie, et celle-ci fut anéantie. Dépouillée de ses pouvoirs, elle prit la fuite sans parvenir à comprendre le sort qui l’avait frappée. Modestie avait ainsi sauvé l’homme qui cherchait à la détruire depuis des années, s’enchaînant à lui sans douter un instant des conséquences de son acte. La passion qui les unissait n’avait pas d’égal, Modestie avait fini par trouver son véritable amour dans l’être le plus improbable qui soit, son Némésis. Elle ne retourna pas auprès des siens, s’abandonnant corps et âme à Rhett, et lui donna même un enfant. Leur idylle, préservée par les corps que sema Rhett autour d’eux, fut néanmoins détruite par cet enfant. Il possédait en lui le pouvoir de ses parents, neutralisant naturellement toute espèce de magie. Il représentait une trop vaste menace pour les sorciers qui pullulaient dans le monde des contes. Il leur fut enlevé, pour la survie du monde magique, et Modestie ne put se résoudre à sa disparition. Elle entama de fastidieuses recherches, qui lui révélèrent l’existence de jumeaux capables de neutraliser toute magie en s’associant. La cruelle vérité lui fut fatale. Comprenant la réelle identité de Rhett, et l’inceste dans lequel elle s’était engagée, la douce Modestie sombra dans la folie. La malédiction de Regina fut salvatrice, arrachant les remords et dissipant la douleur.



Once Upon A Time...


Le réveil sonna et extirpa Mara du lit en sursaut. Le second étage du duplex dans lequel elle logeait avec sa collègue Emily baignait encore dans un calme peu ordinaire. La chirurgienne savait que sa colocataire commençait sa garde à la même heure ce jour-là, aussi le silence ambiant ne pouvait être interprété que d’une seule façon. Elle traversa le living-room d’un pas pressé, ouvrant en catastrophe la porte de la chambre d’Emily. Un sourire espiègle fendit ses lèvres, puis elle se précipita sur le lit de sa colocataire pour la réveiller le plus désagréablement possible. Elle fit grincer le lit avec application, en chantant à la blonde qu’il était l’heure de sortir du lit. Parce que la douceur de sa voix ne parvint pas à réveiller la belle endormie, elle se mit à brailler, s’époumonant, volant l’oreiller de sa collègue, rabattant ses couvertures, pour finir par ouvrir les volets et laisser filtrer le soleil hésitant de ce début de matinée. Emily prononça des injures incompréhensibles, que Mara ne fit pas l’erreur de prendre au pied de la lettre. Elle finit par la laisser en paix lorsqu’elle estima que son manège l’avait suffisamment réveillée. Fière de cette douce vengeance, qui était bon enfant entre les deux jeunes femmes, la brune rejoignit la cuisine et entama la préparation du petit déjeuner. Si elle payait sa part du loyer, Mara ne comptait pas s’arrêter à une participation purement matérielle. Emily l’avait gentiment dépannée lorsqu’elle en avait eu besoin, et elle aimait ainsi lui exprimer sa reconnaissance par de petits services au quotidien, l’épisode du réveil mis entre parenthèses.

La journée se présentait bien. Malgré les cas désespérés suffisamment rares qu’elle rencontrait parfois dans l’exercice de sa fonction, Mara tâchait de garder le sourire en toutes circonstances, ainsi que sa bonne humeur et sa fraicheur naturelles. On disait d’elle qu’elle était un bon médecin, car elle savait faire corps avec la détresse de ses patients et de leur famille, et les aider au mieux à traverser ce moment difficile, distillant sa douceur sans jamais manquer de sérieux.

Pourtant, le sérieux ou la douceur ne teintèrent pas son visage lorsqu’elle passa les portes de l’hôpital. La surprise avait été la première à frapper, suivi de près par une réminiscence et une lucidité soudaines. Aujourd’hui, c’était la journée des enfants, et les chères têtes blondes du personnel médical trottaient dans les couloirs, passant de chambre en chambre pour remonter le moral des troupes, néanmoins encadrés pour éviter tout débordement. Mara tomba nez à nez avec l’une de ses collègues, flanquée d’un gamin souriant d’une dizaine d’année, et portant dans ses bras une jolie petite blonde de 3 ans à peine. Elle avait beau connaître et apprécier la grande majorité de ses collègues, elle ignorait tout de la vie de famille de celle-ci, et resta bouche bée devant les grands yeux émerveillés de ses enfants. Elles échangèrent d’abord quelques banalités, Mara s’extasiant particulièrement sur la plus jeune, proprement adorable.

« Par quel malheureux hasard n’as-tu pas d’enfant, Mara ? Tu as pourtant la fibre qu’il faut, et peu de chirurgiens sont aussi à l’aise que toi en pédiatrie ! »

La question ne l’avait jamais effleurée. Pourtant, Mara adorait les enfants, savait se faire accepter d’eux en quelques mots, parfois même en un simple regard. Il y avait toujours eu une alchimie particulière entre le Dr. Cadwell et les différents enfants qu’elle côtoyait dans son entourage, ainsi qu’à l’hôpital. Le service de pédiatrie était son repère favori, contrairement à certains de ses collègues qui renâclaient lorsqu’ils devaient y aller, n’ayant simplement aucun don avec les enfants, et les fuyant même comme la peste pour les plus ambitieux et émotionnellement déficients d’entre eux. Mara aimait définitivement les enfants, alors pourquoi n’en avait-elle pas encore à 27 ans ?

« Il faut croire que je n’ai pas encore trouvé le grand amour. »

Le grand Amour, l’idéal auquel Mara avait toujours prétendu, contre les brimades de ses camarades, puis de ses collègues qui ne ressentaient pas la moindre gêne à enchaîner les aventures sans lendemain. Mara n’était définitivement pas faite pour les parties de jambes en l’air sans attachement. Elle ne pouvait tout simplement pas s’abandonner au premier venu. C’était viscéral, il fallait qu’elle ait des sentiments pour se donner, et lorsqu’elle le faisait, ce n’était jamais à moitié. Sentimentale, Mara se défendait d’être naïve pour autant. Elle savait assez bien reconnaître les hommes susceptibles de la mener en bateau, et se gardait bien de tomber dans leurs filets. Elle pouvait passer pour une prude, ou une coincée, mais elle s’inquiétait peu des on-dit lorsqu’ils allaient dans ce sens, elle n’aurait commencé à s’alarmer que si on la considérait comme une prostituée. Mais ça ne risquait pas, sa vie était d’une simplicité recherchée, aussi pure qu’elle l’était elle-même. Ce n’était donc pas son genre d’enfanter avec le premier venu, comme certaines femmes qu’elle connaissait. Mara se gardait bien de les juger, la ville le faisait bien assez, et elle n’avait pas d’intérêt à les enfoncer plus qu’elles ne l’étaient déjà, surchargées de tâches qu’elles peinaient à accomplir. Au contraire, la brune leur apportait son aide, n’hésitant pas à servir de nounou de temps à autre pour certaines voisines, et leur permettre d’avoir la vie sociale dont elle-même se passait bien. A défaut d’avoir un enfant à elle, elle s’occupait de ceux des autres, et personne ne trouvait à s’en plaindre. D’ailleurs, sa collègue ne parut pas s’inquiéter davantage pour sa recherche du grand amour, dès lors qu’elle lui proposa, sur le ton de la conversation, de garder ses enfants dès qu’elle en aurait besoin. La femme se révéla des plus intéressées. Et si la plus jeune n’avait fait cette remarque que par courtoisie, elle n’était pas du genre à rejeter les engagements une fois qu’ils étaient lancés. Avant que la conversation ne prenne fin, une nouvelle soirée libre de la chirurgienne était partie en fumée.











Dernière édition par Mara Cadwell le Sam 23 Mar - 23:51, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Mara Cadwell ; L'ignorance du péché   Mara Cadwell ; L'ignorance du péché EmptySam 23 Mar - 16:48


MARAAAAAAAAAAAAAAAAAAA Mara Cadwell ; L'ignorance du péché 2228576334

Emily est partie sauter de joie dans tous les sens, donc c'est Archie qui vient dire bienvenue Mara Cadwell ; L'ignorance du péché 3812454692 Amuse-toi bien avec ce nouveau personnage, que j'adore déjà **
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MessageSujet: Re: Mara Cadwell ; L'ignorance du péché   Mara Cadwell ; L'ignorance du péché EmptySam 23 Mar - 18:17


Rewelcome alors ^^
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MessageSujet: Re: Mara Cadwell ; L'ignorance du péché   Mara Cadwell ; L'ignorance du péché EmptySam 23 Mar - 18:19


rebienvenue !
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MessageSujet: Re: Mara Cadwell ; L'ignorance du péché   Mara Cadwell ; L'ignorance du péché EmptySam 23 Mar - 18:37


Mara Cadwell ; L'ignorance du péché 795445150
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MessageSujet: Re: Mara Cadwell ; L'ignorance du péché   Mara Cadwell ; L'ignorance du péché EmptySam 23 Mar - 20:31


Merci à tous!!
Et Criquet, j'aime déjà nos plans! Mara Cadwell ; L'ignorance du péché 698500469

P.S.: Écartez le sociopathe de ma fiche!! Mara Cadwell ; L'ignorance du péché 3415537289
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MessageSujet: Re: Mara Cadwell ; L'ignorance du péché   Mara Cadwell ; L'ignorance du péché EmptySam 23 Mar - 21:49


Bienvenue ^^
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MessageSujet: Re: Mara Cadwell ; L'ignorance du péché   Mara Cadwell ; L'ignorance du péché EmptySam 23 Mar - 23:52


Merciii !!

Fiche terminée, et composée de trois pavés volumineux, avec mention spéciale pour les deux derniers, le premier étant là pour attirer les esprits faibles! *rire diabolique*
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MessageSujet: Re: Mara Cadwell ; L'ignorance du péché   Mara Cadwell ; L'ignorance du péché EmptyDim 24 Mar - 0:14







Je te valide une 5ème fois aussi, bon rp avec ce personnage Mara Cadwell ; L'ignorance du péché 2228576334


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♣️ Puisque tu es validé(e), il faut maintenant que tu signes l'accord de Mr.Gold dans ce sujet.

♣️ Tu dois penser à enregistrer ton avatar ici

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