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| Sujet: Nathanael Nightray Jeu 2 Mai - 0:04 | |
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INTRODUCTION Qui se cache derrière l'écran ? © COPYRIGHT GIF
Toujours Christine/Jamie/Aiden/Allistair….J’ai juste transformé Lukas, parce qu’il a pas joué et que sincèrement, j’ai tenté de lancer un rp et ça passe pas…XD Donc vala. Je change donc Renner au armporn impeccable à Louis Garrel, personnage bien différent, donc.
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Nathanael Nightray Feat Louis Garrel
Qui est cet habitant ? Dans les coins reculés de la ville, ceux dont les parents mettent en garde leurs enfants, voilà où l’on peut trouver Nathanael, 22 ans. Ou alors au Rabbit Hole, où il est serveur…Officiellement. Car il faut bien le dire, ce homme possède une morale qui laisse à désirer. La corruption ? Il en fait son gagne-pain. Le vol ? Son jeu favori. Le sexe ? Sa drogue quand l’adrénaline ne peut pas être au rendez-vous. Il est un être décomplexé au possible, ne se refusant pas un peu de plaisir là où il peut le trouver ; homme, femme, pas de différence à ses yeux. S’il peut aussi choquer quelques âmes trop prudes au passage, il n’en sera que plus ravi. De l’extérieur, sincèrement, il apparait comme un type cynique, doté d’un humour noir et/ou méchant qu’il se plaît à utiliser dès qu’il en sent le besoin, désinvolte et insolent. Mais il est aussi intelligent, patient, passionné, adaptable…Il possède bien des qualités, mais elles sont tellement occultées par cette carapace de cynisme et de cruauté calculée qu’il est difficile de vraiment les voir. Par contre, il y a une chose qui est certaine : Nath n’est pas là pour les gens. Il les sert, se sert d’eux à l’occasion, partage et s’attache quand il y a lieu de, mais il n’est pas un altruiste. Il ne peut pas penser aux autres avant lui ; il a du mal à penser aux autres tout simplement. Loin d’être un solitaire cependant, il ne faut pas espérer qu’il se souvienne de votre date d’anniversaire – par exemple – pour autant. Pourtant il n’a à priori rien vécu qui n’explique cette inattention totale à ceux autour de lui. Alors oui, il a bien des « amis », des gens auxquels il tient, mais qu’ils ne pensent pas que s’il s’est déjà battu pour eux c’est pour…Eh bien eux justement. Il ne faisait que déguiser son besoin d’adrénaline en une action chevaleresque. Car il a un véritable besoin d’adrénaline, c’est sa drogue de choix. Mais pas de piqûre, rien à sniffer, il fume à la rigueur, mais l’adrénaline ne lui vient que lorsqu’il se met en danger, lorsqu’il sait qu’il risque quelque chose dans une situation. Il n’est cependant pas parieur. Mais cette carapace, qu’il porte en permanence, qu’il affiche comme un lui qui ne l’est pas vraiment, cache un homme qui est atteint d’une profonde mélancolie, d’une peur irrationnelle de l’attachement réel et pourtant ayant une dépendance aux autres qu’il nierait toujours ressentir. Il est aussi claustrophobe et astraphobe et, certaines nuits, fait des crises de panique sans raisons apparente. Ce mal-être qu’il cache à tous, et surtout à lui-même, le bouffe de l’intérieur et il est important qu’il s’en rende compte, rapidement, avant qu’il ne finisse par simplement devenir fou (ce que certains pensent déjà être le cas). Mais qui est-il, réellement ? Réellement ? Ha ! On peut dire qu’il se venge bien à Storybrooke. Car la cruauté, à une époque, c’est lui qui l’a vécue. Cal, jeune homme qui, suite à on ne sait trop quoi, un sort, une alliance qui n’aurait pas dû être, avait des caractéristiques de serpents. Un homme-serpent. Une peau parsemée d’écailles à certains endroits. Une agilité anormale, une très mauvaise tolérance au froid. Bref, hormis pour le fait qu’il parle la langue des humains et qu’il en ait une apparence très proche (écailles mises à part), il avait presque tout d’un serpent – le venin en moins. C’est un jeune homme qui, hors de la scène du cirque om il a été recueilli à ses 4 ans, se faisait timide, effacé, voulant éviter d’attirer l’attention des autres car, malheureusement, personne n’arrive à l’accepter pour ce qu’il est. Il effraie, il provoque un sentiment de haine, ou alors de la pitié. Cette dernière, il la hait, l’exècre du plus profond de son être. Cette pitié qui poussent certaines personnes à vouloir jouer les bons samaritains, parce qu’ils pensent que ça les aidera à se sentir mieux. Pff ! Balivernes. Ils sont seulement plus curieux que les autres de s’approcher de lui, la chose qu’il était depuis sa naissance. Les coups, les quolibets, les mauvais traitements…Ah, il les a connus. Il ne s’en est jamais rebellé, sauf lorsque d’autres du cirque s’y mettaient, parce qu’on lui avait suffisamment rabattu les oreilles pour que ça rentre dans son crâne…Lorsque la malédiction a frappé, il a eu peur, comme tout le monde. Mais quand il se réveillera de la malédiction, il est très fortement probable qu’il préfère sa vie actuelle…
Once Upon A Time... Une cigarette aux lèvres, un sac sur le dos, et voilà Nate qui part en vadrouille vers la forêt hors des sentiers battus afin de prendre l’air. Il ne cherche pas exactement du calme, sinon il aurait laissé son mp3 dans sa petite chambre, au lieu d’écouter du rock et du métal agressif et violent aussi bien dans leurs rythmes, leurs arrangements musicaux que leurs paroles. Non, il ne cherche pas du calme, il cherche juste un endroit qui lui parlait. N’allez pas y voir un délire bucolique, hippies ou d’autres trucs du genre tout aussi grotesque ; ce n’est pas du tout le trip de Nathanael. En revanche, il aime peindre dans des endroits dans lesquels il se sent bien. La plupart du temps c’est dans sa petite chambre qu’il peint. Là, il avait envie de sortir un peu ; de profiter de l’air ambiant, du vert ambiant. Pourtant, ce qu’il peint à l’aquarelle sur son bloc de feuilles épaisses est bien loin du décor qui l’entoure. C’est bien souvent des décors sombres, étranges voire sanglants quand l’envie lui prenait. Ils reflétaient bien le genre de personnes qu’était Nate. Cruel dans la plus pure interprétation du mot. Même si sa cruauté porte plus sur le moral que sur le plan physique.
Aujourd’hui, c’est un paysage enneigé, beau et dérangeant à la fois ; car tout y est mort. Les rares esquisses de bâtiments ou d’architecture quelconque sont en ruine, rongés par la mousse et la neige, alors que les arbres alentours sont en agonie, leurs branches semblant comme amputées sans raisons, comme si l’hiver avait été trop cruel et lui avait fait perdre de bouts de branches sans qu’elles ne puissent repousser. Ca lui faisait un peu penser à la situation de la ville. De plus en plus de gens se comportaient bizarrement ; comme rongés d’un mal auquel ils n’avaient jamais fait attention jusque-là. C’était amusant à regarder pour quelqu’un comme Nate. Ca le faisait rire, un rire cynique, ce genre même qui teinte son humeur et ses mots. Comment les gens se découvraient des passions sans même savoir pourquoi. Pff. Bande d’hypocrites…Enfin, il pouvait bien parler lui, avec toutes les choses qu’il se cachait à lui-même, les crises de paniques nocturnes qui l‘empêchait de retrouver le sommeil pendant de trop longues heures par la suite…
Sa troisième cigarette terminée, son esquisse primaire en bonne voie d’être terminée, il eut la vague idée de regarder sa montre. Ah, tiens, il était presque en retard pour le travail. Plaçant soigneusement un buvard sur son œuvre en court, il referma son carnet et reprit le chemin du Rabbit Hole d’un pas tranquille, pas inquiet pour deux sous. S’il risquait quoi que ce soit en arrivant en retard ? Pas vraiment. Si avait bien trop de qualités qu’ils recherchaient pour ce job pour le virer juste pour quelques retards de, maximum, vingt minutes. En arrivant, il enfila le traditionnel tablier noir pour son service et commença ce dernier. Pendant trop longtemps, il lui sembla, rien de spécial ne se passa. Puis il eut un signe. Le genre qui attirait tout de suite ses yeux, qui émoustillait déjà ses sens avant même qu’il ne s’approche de celui qui pensaient être en contrôle de la situation. Nathanael eut un sourire envers cet homme, un sourire amusé, provocateur, qui se transmit à ses yeux avant qu’il ne perde le contact visuel.
"Patron, je prends ma pause."
Et il déposa son tablier avant de s’éloigner dans la foule. Son patron n’était pas dupe ; il connaissait suffisamment bien son employé pour savoir lire entre les lignes. Ici, il voyait bien qu’il ne fallait attendre son employé de retour avant un moment ainsi que la bière d’un client qui serait à température ambiante quand ce dernier reviendrait…
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Dernière édition par Nathanael Nightray le Ven 3 Mai - 0:03, édité 1 fois
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| Sujet: Re: Nathanael Nightray Ven 3 Mai - 0:13 | |
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