Contient des moments d'épisodes.
J'entendis un léger bruit sourd, on toquait. Le son venait de la fenêtre, je m'y approchai d'un mouvement rapide, sûr de ce que c'était. Un discours commença à travers les volets :

-Qui est là ? répondit une voix de grand-mère.
-Laisse-moi entrer. Chuchota-t-il.
-Je ne suis qu'une pauvre et vieille femme ne me faites pas de mal.
-Laisse-moi entrer ou je ...
-Oui ? Coupai-je.
-Ou je vais souffler encore encore et t'as maison va ...

J'ouvris avec un bel éclat de rire, et je vis un magnifique visage, dans un ciel léger perdu entre le jour et la nuit d'une couleur presque mauve penchant vers le bleu voie lactée. Je souris d'un sourire resplendissant, et il fit de même, la vue de Peter ensoleillait toujours mes journées. Couverte d'un chaperon rouge et brodée, j'illuminai la forêt de la petite maison où j'étais.

-Tu va souffler et souffler ? Riais-je pleine de joie.
-Oui c'est tout ce qui m'est venue à l'esprit.
-Oh tu croyais donc détruire la maison rien avec ton souffle ? Ironisai-je Après une petite pause je repris, Bah oui, ça aurait pus marcher.

Je m'approchai avec un petit aire félin. Il émit un rire. Nous nous regardions d'ai aire amoureux.

-Chuuuut, mère-grand est dans l'autre pièce. Tu sais qu'elle n'aime pas que j'ouvre les volets...
-Dit plutôt qu'elle ne m'aime pas.
-Tu avais compris .
-Il faut que tu la quitte.
-Il faut que je parte ailleurs, n'importe où !
-Un apprenti forgeron trouve du travail n'importe où.
-Tu quitterais tout ce qui te sont chers, tu ferais tout ça pour moi. Je fus ému
-Oui je suis prêt à tout.
-Prend garde à toi tu es en train de perdre ton aire de grand méchant loup.
-Allez viens, s'il te plait.
-Il fait déjà nuit ,elle voudra pas.

Soudain mon prénom résonna, je me retournai d'un coup précipitamment.

-Scralette, quesque tu fais ? Ou es-tu ?! Cria mère grand.

Peter essaya de ma reteindre.

-Arrête, lâche moi !

-Donne-moi un gage, embrasse moi... Susurra-t-il.

J'allais me pencher, mais mère grand me répéta ces mêmes paroles incessantes. Il fallait choisir, et l'amour me porta à l'embrasser, je me penchais très vite et lui décrocha un baiser, qui fut merveilleux. J'étais heureuse et laissa échapper un rire en fermant les volets. Je restai quelques secondes comme ça, me remémorer ce premier baiser si étrange pour moi, et j'entendis les pas de Peter s'en allant au loin dans la neige. J'allai voir mère grand et je lui demandai pourquoi m'avait-elle appeler, mais vint me dire que ça ne me concerner pas. La porte était ouverte et je m'y approchai, il y avait les chasseurs du village. Mère grand les insulta d'idiot car ils voulaient aller tuer le loup, ce qui moi me donner très envie.

-Alors tu 'a fait venir pourquoi ? Tu voulais me ... M'avoir à l'oeil ? Questionnai-je.
-Bonsoir Scarlette, nous formons une équipe de chasseurs.
-Ça veut dire que vous allez aller chasser le loup, je veux y aller, s'il te plait je ne crains rien si on est nombreux.
-Ne soit pas bête et reste ici, et tu gardes ta cape, tu sais très bien que les loups n'aiment pas le rouge.
-Alors pourquoi ils portent pas de rouge ?
-Ils ont bien tort... Il ne luit reste que deux nuits de chassent alors laisser le lui prendre quelques moutons et protéger vous.

Elle referma la porte et j'exprimais ma colère.

-J'espère qu'ils tueront le loup, on pourra enfin revivre !
-Dit plutôt que tu veux courir dans la forêt avec l'autre bon à rien.
-Peter n'est pas un bon à rien ! Criai-je , Il travaille dur et il a des projets.
-Oh ça j'en suis certaine. Ça suffit maintenant, tu sais quoi faire.

Je me mis à faire le travail quotidien; fermer les volets, mettre une barre en bois devant la porte, fermer la cheminer avec une grille... Puis, tout ça terminé, mère grand m'ordonna d'aller me coucher. Je me mit en route direction ma chambre lorsqu'elle commença à me refaire la leçon sur Peter, et sur mon capuchon "Grade ton capuchon !" puis elle se mit en place devant la porte, arme à la main. En entrant dans ma chambre je déposai mon capuchon à coté. Mère grand était rester toute la nuit, mais elle le supporta.

-Allons voir si le loup n'a pas attaquer nos poules.
-Oui mère grand, disais-je en enlevant la barre de bois de la porte en répétant toujours le même dicton. J'ouvris la porte mais elle me coupa sec.
-Met ton capuchon !

Elle ouvrit alors les volets et le reste, moi j'allai dans le poulailler voir si aucune poule manquer. Je pris les oeufs dans les cacaillements des poules, lorsque j'entendis un bruit, je me retournai et me rapprocha quand une jeune fille avec une magnifique chevelure noir et une peau aussi blanche que la neige sortit.

-Pardon, je vais m'en aller...
-Tu es en train de voler nos oeufs ?
-Non ... Elle coupa. Juste deux. Reprit-elle.

Elle alla les reposer mais je lui dit que ce n'était pas grave et qu'elle pouvait les garder avec gentillesse. Elle me remercia du plus profond d'elle. Elle m'expliqua alors pourquoi elle était là. D'après elle il y avait une bête dans la forêt, le loup surement.

-Je l'ai entendu... Je l'ai entendus qui hurlait et il faisait si froid...
-Aller, ne t'inquiète pas, viens avec moi. J'essayai de la rassures avec ces paroles. Tout le monde m'appelle Scarlette.
-Et moi c'est ... Flocon.
-C'est ça ton nom ? Demandai-je plus qu'étonné. C'est vrai ?
-Non, quelqu'un me pourchasse alors je préfère ne pas...
-Oui, tu dois voir si tu peux me faire confiance, je comprends tu sais, je veux juste un nom pour m'adresser à toi. Disais-je souriante.
-Oh , euh ... Mar ... Margaret, eu non, non, Mary; Mary. Approuva-t-elle.
-D'accord, alors va pour Mary. Tu viens Mary ?

Mary déposa les oeufs dans mon fin panier. Elle était très jolie, et je me demandais pourquoi elle était pourchassée, mais je ne devais pas faire la curieuse non plus. Nous allâmes au puits et je lui expliquais que c'était un loup qui tuait sans merci. "Le loup était en chasse, il était aussi grand qu'un poney, mais plus sanguinaire". Tout en continuant de parler, le seau se coinça et je lui demandais de l'aide. Mary s'arrêta, et je vue l'eau rouge sans, je l'appellais, je continuai sans réponse. En me retournant je la vie comme paralyser, je lâchais le seau et vis les chasseurs morts dans la neige, qui n'était plus blanche mais écarlate. Je fus plus que choqué en voyant cette affreux désastre.